Juste un avant-goût du registre BDSM
Datte: 24/03/2019,
Catégories:
fh,
jouet,
jeu,
... que Maîtresse Nato ne me contredira pas, conclut ma belle-sœur, en prenant ladomina à témoin. En retour, ladomina a grommelé une réponse que je n’ai pas comprise. Plus tard, Maîtresse Nato ajoute un bandeau à l’attirail, « c’est la règle » m’apprend-elle. Nous sommes devant une croix de Saint-André. Maître Gajo, responsable du site, m’attache les poignets et les chevilles à chacune des branches de la croix. Je suis écartelée, tous sens aux aguets, je cherche à deviner quand l’homme brandira son martinet, afin de ne pas être surprise quand le coup tombera. Je l’ai observé avant d’être aveuglée, il est vêtu d’une culotte de cuir, ouverte sur le devant ; un anneau pénien étrangle son sexe. L’homme n’appuie pas ses coups, les lanières caressent plus qu’elles ne frappent, mais la persistance finit par mettre les nerfs à vif. Il insiste particulièrement sur les seins, et le sexe. Il lui arrive d’utiliser le manche pour prodiguer une pression plus appuyée sur ma vulve et sur le périnée. Ce jeu dure longtemps. Je m’évade, m’envole, prends de la hauteur. Mon nuage est confortable, des fantasmes sans consistance accompagnent mon errance. Lorsque Maîtresse Nato est de retour, le son de sa voix me sort de mes vapeurs. Maître Gajo me détache, ladomina prend ma main, elle me conduit, toujours aveuglée, dans une pièce voisine. — Tu vas être punie. De quoi parle-t-elle ? Je suis bien incapable de dire le pourquoi de sa punition, et pas seulement à cause du bâillon, pourrais-je parler, ce ...
... serait pareil. Un homme, à moins que ce ne soit une femme, m’attache les poignets dans le dos, la même personne m’entrave ensuite les chevilles. Une force herculéenne me soulève, un homme assurément. Il me place à plat ventre, en travers de ses genoux, avec une aisance ahurissante. Il porte un pantalon de toile, je le sais au soyeux du tissu sur les parties en contact. Ma position n’est pas confortable ; le colosse me laisse le temps de trouver mes aises. La volée commence ensuite. Les fessées tombent d’abord rapides et peu appuyées, puis le rythme se stabilise et les frappes se font plus puissantes, plus méthodiques, plus cinglantes. La douleur fulgure, la chaleur croit après chaque coup, elle irradie au travers des fesses vers le ventre et le périnée jusqu’à inonder mon sexe. La souffrance est jouissive, du genre qu’on aime attiser, puis la brûlure se calme, comme anesthésiée, avant que ne survienne la frappe suivante plus sèche que la précédente, ou différente simplement, c’est assez pour réveiller le tourment. Je crie, un peu plus fort que la fois d’avant. Les cris résonnent sous son crâne, mais le bâillon ne laisse filtrer que des gémissements, ponctués de borborygmes. Est-ce le moment que Maîtresse Nato choisit pour me prodiguer ses encouragements, je ne sais plus, toujours est-il que ladomina murmure près de mon oreille à un moment donné. — Tu aimes ?— Huuuuuu… Huuuuu ? C’est à peu près tout ce que le bâillon permet, traduit en langage compréhensible cela signifie : « ça ...