Un prêt à long terme
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
fdanus,
extraconj,
Collègues / Travail
... un peu en arrière, rompant notre contact. C’est alors qu’une chose très surprenante s’est passée. Sylvie a pris ma main et l’a posée doucement sur sa joue, les yeux fermés. Cette sensualité m’a immédiatement ému et je lui ai relevé le visage pour l’embrasser à nouveau, toujours doucement sur les lèvres. Nos bouches se sont ouvertes et nos langues timidement se sont cherchées, trouvées. Tout en m’embrassant, elle s’est levée et nous nous sommes enlacés, nos langues se faisant plus actives. Je ne voulais pas brusquer les choses mais Sylvie prit l’initiative et sa main descendit très vite mon pantalon, caressant au travers du tissu mon sexe au plein de ses formes. Ma main ouvrit son chemisier et j’ai caressé sa poitrine d’abord au travers de son sous-vêtement puis sur sa chair nue. Toujours sans un mot, mais avec davantage d’ardeur, je l’ai assise sur son bureau, balayant au passage mon dossier qui tomba par terre. Elle était là, assise jambes ouvertes, le chemisier béant et la poitrine nue, me regardant avec un sourire, la main toujours posée sur mon bas-ventre et cherchant ma braguette. Plus rapide, je lui ôtai son boxer découvrant une chatte bien entretenue, de vraie blonde. Avant qu’elle puisse réagir, j’étais déjà à genoux embrassant son entrecuisse. Ma langue s’est faite plus hardie. J’ai léché son sexe, ruisselant, buvant à plein bouche sa liqueur sans doute conséquence de cette situation très sensuelle que nous avions vécue tout à l’heure. Par petits coups, je ...
... titillai son clitoris provoquant à chaque fois un spasme et un soupir de ma partenaire. Ses mains appuyaient sur ma tête et m’incitaient à être encore plus précis. J’ai glissé un doigt à l’aide de ma bouche, le pénétrant dans son sexe, par des va-et-vient lents et profonds. Je sentais que tout cela faisait monter une jouissance qui s’annonçait violente et je ralentis mon rythme. Sylvie se mit à geindre, me demandant de ne pas arrêter, d’accélérer au contraire. La bouche pleine de son amertume, je l’ai embrassée, mélangeant nos salives à son jus, ce qu’elle a eu l’air d’apprécier beaucoup. Ses mains à nouveau m’ont poussé vers ses cuisses et j’ai repris mes caresses buccales, embrassant, mordillant, pénétrant de deux puis trois doigts ce sexe offert. Ma main a glissé un peu vers le bas, vers son petit trou et j’ai senti ses fesses se contracter. Il était trop tard pour reculer et j’ai effleuré son anus, doucement ses fesses se sont relâchées et toujours avec douceur, j’ai introduit mon doigt progressivement, facilité par le jus qui continuait de couler abondamment de son antre, mélangé à ma salive. Sylvie gémissait de plus en plus, arquée sur le bureau, tendue à l’extrême. Ses jambes ont emprisonné mon buste et j’étais otage de son sexe que je continuais de laper, ma langue, tendue et durcie s’insinuait au plus profond, recherchant davantage de saveur, que j’aspirais avidement. Après plusieurs minutes Sylvie se tendit et cria mon prénom, ce qui me surprit un peu dans l’état de ...