La conversion
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
volupté,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
... fin, se souvenant que l’initiative revient, dit-on, aux hommes, il commence, à tâtons, à explorer mon corps. Ses mains me parcourent, me découvrent lentement, extrêmement lentement. Il me donne le sentiment d’avoir l’éternité pour lui. Comme à mon habitude, je me suis mise sur le ventre, le visage enfoui entre mes bras, profondément enfoncé dans mon oreiller. Je n’ai pas l’intention de prendre les devants, je veux rester passive, me laisser faire. Ses caresses continuent toujours au même rythme. Maintenant, il est à genoux à mes côtés et peut utiliser ses mains et ses lèvres. Il ne s’en prive pas. Puis, il se met à califourchon sur mes fesses. Pourvu qu’il attende encore, c’est tellement bon. Ah ces chinois, comme ils s’y connaissent en tortures, car, c’est moi maintenant qui lui réclamerais d’aller plus avant. Je me sens bien, détendue, mon ventre est brûlant, je l’attends. Il se penche en avant et je peux sentir son sexe contre moi. C’est vrai, je ne l’ai pas encore ni caressé ni même touché. Je passe une main derrière moi et le prends. Il m’apparaît normalement proportionné, chaud, dense, d’une raideur et d’une dureté prometteuses. À petits gigotements du bassin, je lui signifie de donner de nouveaux horizons à nos ébats. Il obtempère assez vite, et m’écarte largement les jambes pour découvrir un sexe luisant car je commence à avoir terriblement envie. Sans plus attendre, il me pénètre lentement, il semble, de nouveau, avoir tout son temps pour me découvrir. C’est bon. Il ...
... me fait mettre à quatre pattes et commence de lents mouvements de bassin pendant que ses mains continuent à me masser les reins, les épaules ou les seins. Plus tard, ses mouvements ont pris de l’ampleur et de l’aisance. Il est totalement en moi. Je sens venir des contractions en vagues courtes, saccadées. Ma respiration se fait hachée, je rejette l’air bruyamment par le nez dont les narines se pincent de plus en plus. Je sens monter le plaisir, alors qu’importent mes bruits ou même mes cris, j’ai la tête qui ballotte en avant, les cheveux qui pendent, je me laisse aller. Les vagues courtes ont maintenant fait place à des longues ondulations qui envahissent mon ventre. Je sens le plaisir monter puis exploser en moi. Je lâche un cri, Dieu que c’est bon. Les ondulations déferlent maintenant les unes après les autres de plus en plus rapides, de plus en plus fortes. Je sens que je vais jouir, je l’expulse hors de moi et j’explose à grands traits. Je sens un liquide chaud fuser puis couler le long de mes cuisses. Je cours après ma respiration. Les ondulations ont maintenant fait place à des décharges électriques qui me secouent le corps de la tête aux pieds. J’ai la tête enfouie au creux de mon oreiller et je me laisse aller à ces mouvements incontrôlables que cette émotion folle vient de provoquer en moi. Je ne peux que laisser le temps passer et le tumulte s’apaiser. Ayant repris un peu mes esprits et mon souffle, je lance une main au hasard pour retrouver Bernard qui me semble ...