La conversion
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
volupté,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
... de Franck qu’il occupe maintenant en permanence. Bien sûr, de temps à autre, nous nous retrouvons, d’autant qu’il a adopté définitivement nos nouvelles pratiques. Ce passage étroit doit lui rappeler celui d’une jeune fille, ou alors, il peut ainsi satisfaire à sa part d’homosexualité. Cela se passe, en général, dans son lit ce qui m’évite de ressasser des souvenirs agréables à bien des égards, mais dont la fin reste encore un peu douloureuse. Au fil du temps, je lui ai recommandé certaines façons de faire qui me convenaient mieux et je suis relativement satisfaite du résultat de nos étreintes qui restent quand même très espacées, trop devrais-je dire. Nous nous soupçonnons mutuellement d’amours adultères. Je ne sais pas comment va évoluer notre couple. J’espère que nous resterons amis. C’est Claude, mon patron, qui a été le grand bénéficiaire car en répondant enfin à ses attentes, j’ai comblé ses espoirs les plus fous. Souvent le vendredi, en fin de journée, dans l’atelier, pliée en avant sur mon établi, la jupe relevée, les pieds largement écartés, le dos creusé, je le laisse me prendre. — Tu sais, Dominique de cette façon au moins, on est sûr que tu ne tomberas pas enceinte. Je pense que cette position l’arrange, car je lui tourne le dos et il n’a pas à contrôler les émotions de son visage. Par ailleurs, je le soupçonne lui et peut-être d’autres hommes, d’avoir des difficultés à gérer à la fois le mouvement de va-et-vient de son propre corps et celui destiné à réveiller ...
... un clitoris. Mais avec moi, il n’a pas à se soucier de cet accessoire. Ces rapports nouveaux avec Claude m’ont permis de lui faire prendre conscience de l’excellence de mon travail et de ma rapidité d’exécution. Il en a convenu aisément, mais a été un peu surpris, quand je lui ai proposé d’apprécier l’évolution de mes compétences à hauteur de trois cents euros par mois. Il a un peu fait la tête au début, mais a très vite évalué les pertes qu’il risquait d’enregistrer s’il devait renoncer à notre collaboration. Cette somme va me permettre de mieux satisfaire mes caprices vestimentaires, et ceux, assez rares il est vrai, de Ludivine. Depuis la rentrée, je fréquente, de temps à autre,l’Anaconda un hammam de la place de la République. Je dirais plutôt que c’est un bar échangiste. Certains soirs, il m’est arrivé de rencontrer un ou deux partenaires qui repartent le plus souvent, enchantés de leur bonne fortune. On y croise, en nombre des bisexuels habitués à ma manière de procéder et je repars, moi aussi, rarement déçue. Un soir, j’y ai rencontré Patrick et Raphaël, un couple qui tient un bar rue Foch, nous avions discuté un long moment, puis ils m’avaient proposé de m’intégrer à leurs propres ébats. À l’occasion, nous aimons bien recommencer ensemble. Un soir de blues, Patrick s’était confié devant moi et avait évoqué ses amis qui avaient été touchés par le sida, Paul, Gaétan, Gilles et quelques autres. Cela s’était, en général, très mal terminé même avec les trithérapies. Il ...