Après l'orage (1)
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Hétéro
... de ta moule. Mais comment fais-tu pour mouiller autant ? Ce doit être rare. — Je n’en sais rien. D’habitude, je mouille normalement mais ce soir je sentais mon foutre couler de ma chatte comme une fontaine. — Je m’en suis aperçu... — Oh ! Que je me sens bien. Tiens ? Tu n’as pas faim ? — Un peu. L’amour, ça creuse. Elle se lève, m’entraîne avec elle vers la salle à manger. Je m’assieds dans le divan et regarde les revues érotiques que j’avais commencé à lire pendant qu’elle se préparait. Elle a passé une petite robe courte et revient avec un plat de petits sandwichs garnis de toutes sortes de bonnes choses. — Mange, mon chéri. Prends des forces pour après. — Parce qu’il y a un après ? Je suis vraiment gâté ce soir et je bénis cet heureux orage qui m’a permis de te connaître. — C’est gentil ce que tu dis, tu es un amour. Oui, il y a un après et tu vas me faire encore jouir avec ta bitte, tes doigts et ta langue. Je veux tout recommencer. Nous dégustons lentement notre petit repas en amoureux. Il n’y a pas à dire, je suis bien tombé avec Sylvie. Le dernier sandwich avalé, elle me sert un délicieux mélange. — Qu’est-ce que c’est ? — Secret d’Etat ! Un petit cocktail de ma composition. — De l’alcool ? Je n’en bois jamais. — Ce n’est pas de l’alcool, c’est bien meilleur. Qu’en dis-tu ? — Eh ! Eh ! C’est fameux. Parfumé et rafraîchissant. Je sirote la boisson en la regardant boire son verre. Elle s’éloigne et met de la musique et baisse la lumière. — Viens danser. — Je ne sais pas ...
... danser. — Eh bien, je vais t’apprendre. Je me laisse conduire. Ce n’est pas compliqué car c’est un slow très lent. Elle m’a pris par le cou tandis que je l’enlace et pose mes mains sur ses fesses. Elle presse ses seins contre ma poitrine et son ventre s’accorde au mien. Je me rends compte qu’une douce euphorie me saisit. J’ai chaud malgré ma nudité. Sylvie approche sa bouche de la mienne et m’embrasse. Sa langue s’insinue entre mes lèvres et les force à s’ouvrir. Son baiser est absolument ravageur. Je sens la chaleur monter en moi, tandis que ses jambes semblent s’enrouler autour des miennes. — Ca va mieux ? — Oui, à part que j’ai chaud. — Moi aussi. — Je crois que c’est le cocktail que tu m’as servi qui me fait cet effet. Elle ne répond pas mais sourit. — Tu vois que tu danses bien. Serre-moi contre toi, je veux sentir ta bitte quand tu vas bander. Caresse-moi aussi, passe ta main sous ma robe, je n’ai pas remis ma petite culotte, ma chatte est nue et je sens que je remouille. Si je l’avais gardée, elle serait trempée de ma liqueur parfumée. Fais-moi encore l’amour et je m’endormirai dans tes bras. — Mais je n’aurai rien à me mettre demain matin. — Et alors, demain quand nous serons levés, je te conduirai chez toi, tu prendras tout ce dont tu auras besoin et tu reviendras ici. — Mais j’ai du travail. — Je sais, tu travailleras ici, j’ai tout ce qu’il te faut et puis tu seras près de moi. Je n’ai pas l’intention de te lâcher comme ça, tu sais. Allons, viens me faire l’amour. ...