1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 20/08/2017, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c,

    ... M’affairant sur la cafetière, j’éclate de rire. Pourquoi pas ? Je me vois lui en parler, sa surprise, son refus peut-être, mais ça m’étonnerait ; sa joie donc, que sa joie. — Tu parles tout seul maintenant, tu ris de quoi ? Je ne l’ai pas entendue arriver derrière moi. Surpris, je me retourne. Laure se tient debout, vêtue de ma chemise d’hier, pieds nus, la tête en bataille, se grattant la tête et baillant aux corneilles. Chemise non boutonnée, le spectacle qu’elle m’offre est ravissant. Ses formes pleines, souples, ses seins qui se rient de la pesanteur, leurs bouts délicats et prompts à réagir, ce ventre juste un peu rond à la peau si douce, ce minuscule triangle de sa toison bien taillée où j’adore m’égarer… Ah ! Laure ! Fille d’Eve ! Elle sourit de m’avoir vu l’admirer quelques secondes, et lâche : — C’est le froid qui m’a réveillée, toi parti. Tu riais de quoi… ou de qui ? Elle m’enlace, m’embrasse, jetant un coup d’oeil sur le café qui passe… D’une main je lui parcours le corps sous la chemise : tout est en place, chaud, accueillant. — Hier soir… murmure-t-elle, c’était bien, hein ? Je me dévergonde ! Et puis comme j’ai eu du plaisir ! J’ai joui, joui… ça n’en finissait pas ! Orgasme multiple, non ? Mes doigts cherchent à énerver ses tétons, qui se dressent aussitôt, comme me reconnaissant et saluant ma visite. Elle me repousse, gentiment, une tape sur la main aventurière. — Obsédé ! me jette-t-elle, insiste… et je te saute dessus ! Et donc tu riais ?— Oui… en ...
    ... pensant à toi ! Et à la nuit qu’a dû passer Clara !— La pauvre… c’est sûr, ça doit la changer d’un certain Jean-Pierre ! persifle-t-elle en souriant, et tu riais « aussi » de moi ! Raconte…— Ta remarque sur Clara… commencé-je.— Est justifiée ! me coupe-t-elle, tu la baises bien ! Très bien, même, elle me l’a dit !— Quoi ! Elle t’a parlé, de… m’insurgé-je— De vos coucheries ! Et en détail ! Oui… tu sais nous les filles ! Et ça nous excite ! Et elle éclate de rire, la garce ! — Tu verrais ta tête ! poursuit-elle, elle réfléchit puis ajoute : une tête de lapin, tiens ! c’est ça une tête de lapin, tu baises comme un lapin ! Elle s’assoit, prise d’un fou rire en m’observant, et reprend hilare : — C’est pas grave ! J’ai aussi mon compte… tant que tu peux fournir ! L’image du gros bourdon dans la ruche me revient. Et aussi celle de l’étalon qui assure des descendances de champions hippiques… Un peu des deux ! — Eh ! tu riais de moi… et bien ? me relance-t-elle, me tirant de mes réflexions sur ma condition masculine de l’instant.— Euh ! oui… Je t’expliquerai, plus tard, une surprise sans doute ! Un haussement d’épaules m’indique qu’elle n’insistera pas. Nous déjeunons, côte à côte. Je m’amuse à l’agacer, cherchant sous la chemise entrouverte ses bouts de seins. « Mignons ces bouts… c’est marrant, ils se redressent ! » Bouche pleine, mastiquant, elle se dérobe : « Arrête… mais arrête… » Puis je glisse ma main à plat entre ses cuisses serrées. Elle manque s’étouffer, déglutit, me bloque la ...
«1234...12»