1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 20/08/2017, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c,

    ... minette. Laborieux ! Laure éclate de rire. — Bah ! Tu as Jean-Pierre ! dit-elle en me tapant dans le dos. Je feins de m’irriter, trouvant la plaisanterie un peu limite ! — Si ça ne vous ennuie pas… je ne voudrais pas passer pour le sauteur de service ! Clara se retient de pouffer. — Excuse-moi ! murmure Laure, mais non, pas le sauteur, je retire… voilà ! Un chevalier servant, attentif, galant, ça ira ? À mon tour je ris pour détendre une atmosphère qui me semble tendue, tout à coup. — Ce n’est rien ! Après tout c’est un peu vrai… et je ne m’en plains pas ! Et nous esclaffons tous les trois… l’air complice. o-o L’apéro est servi, nous sommes assis autour de la table basse du salon, et devisons de tout, heureux simplement d’être ensemble. Je profite d’une pause pour me lever soudain, à la surprise de mes deux femmes. — Oh ! Toi, tu vas faire un discours ! me plaisante Laure Je souris, me tiens bien droit, et prends une profonde inspiration. L’instant est délicat. J’opte pour un ton officiel de sous-préfet. — Clara… Clara, en tant qu’amie de toujours et amie intime de Laure, j’ai l’honneur ici et maintenant… de te demander la main de Laure ! Et vlan ! Les deux filles sont pétrifiées, et me regardent, incrédules. Clara bredouille, en articulant difficilement : — Tu, tu me demandes, sa main… hein ? Quoi ? Laure se lève, blême. — C’est une blague ! Tu veux… tu veux te marier avec moi ? Clara, qui n’en perd pas une, murmure, mutine et espiègle : — Laure, ma chérie, c’est à moi ...
    ... qu’il a demandé… tais-toi ! Abasourdie Laure est statufiée. Clara, amusée, se lève à son tour et pontifie : — Et bien, mon ami… nous allons étudier votre proposition ! Vous semblez avoir les qualités requises… pour les avoir personnellement expérimentées ! C’est oui, donc !— Clara ! s’écrit Laure sortant de sa léthargie, j’ai mon mot à dire, non ?— Non ! coupe sèchement Clara en me jetant un coup d’œil. Laure, toujours debout, me regarde les yeux embués, se tordant les mains. — Tu es fou… mais tu es sérieux ? Moi ? Non… tu es fou ! Clara, en riant franchement soutient son amie, et reprend : — Remets-toi ma puce, ce n’est pas la fin du monde ! Alors, c’est oui ou c’est non ?— C’est pas possible… murmure Laure. Tu voudrais qu’on se marie ? Clara la secoue et, provocante, déclare dans un sourire: — Si tu ne le trouves pas assez bien pour toi, moi je le prends, sans problème ! Laure regarde son amie, la repousse et vient se jeter en pleurs dans mes bras. — Ouiiiiii, s’écrit-elle, ouiiiii ! Nous nous embrassons, je lui sèche ses larmes, et doucement je la raccompagne pour la rasseoir, la caler dans les coussins du canapé. Clara est hilare, les larmes aux yeux également. — C’est d’un ringard… commente-t-elle, se marier ! On le dit « avant », mais quand ça vous tombe dessus, c’est merveilleux ! On ne changera pas les femmes !— Je n’en reviens pas ! murmure Laure, je ne réalise pas ! Jean-Pierre, réfléchis quand même… Moi, la paumée !— Tiens ! lui dis-je pour toute réponse en posant un ...
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