Un week-end torride. Dimanche
Datte: 20/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
amour,
volupté,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
ecriv_c,
... main. — Mais c’est pas vrai ça ! Moule du matin, moule qui a faim ! s’esclaffe-t-elle. Attention, elle est carnivore… bouffe tout c’qui passe ! Les bigorneaux… Je la prends par le cou, l’embrasse aux coins de la bouche, et murmure : — Même une langue, juste pour la réveiller, la moule ? Pour toute réponse, levant les yeux au ciel, elle me prend la tête, soupire, déplace sa chaise, et me pousse à me mettre à genoux entre ses cuisses qu’elle ouvre largement. Ses mains me plaquent à son bijou caché, déjà palpitant, puis bascule son bassin en avant… — Mange-moi, bois-moi… gémit-elle en me tenant fermement par les cheveux. Avec bonheur, mes lèvres, ma langue, retrouvent ces saveurs que j’aime tant. Douceurs d’abord un peu humides, puis bientôt frémissantes et pleurant leur plaisir. Mes lèvres recueillent des liqueurs enivrantes et brûlantes, des frissons subtils. Laure souffle, se tétanise, le ventre tendu vers la caresse. — Tu exagères… ahane-t-elle, au petit déjeuner ! Quelques instants plus tard, se cramponnant à la table, renversant nos bols, elle laissera aller sa jouissance dans un râle de gorge… Elle ne voulut pas me rendre la pareille : « Je te réserve pour tout à l’heure ! Ne t’inquiète pas ! » avait-elle conclu en me relevant et en m’essuyant les lèvres d’un coup de langue. Je serai toujours ravi de sa gourmandise, de ses élans, de sa disponibilité. o-o La matinée passe en flânant au lit, à parler, à chahuter. Par moment nous parlons de son départ, de son retour dans ...
... trois mois. Un peu marre de ce cirque. — Cette fois je n’aurai que les soirées et les nuits… mais je vais voir, il y a peut-être une solution, pour que je revienne plus tôt, peut-être finir les études ici.— Et après… que feras-tu ? lui demandé-je, inquiet plus que curieux.— Après ? Je chercherai du boulot. Ce n’est pas ce qui manque…— Mais où, surtout ? Ça peut être important, non ? Je pense bien sûr au mariage, à notre vie après. Ses yeux se font soucieux. Elle hésite. — Important… pour nous, tu veux dire. Oui, l’avenir… Je préfère ne pas trop y penser, on verra à ce moment, j’y pense quand même. Elle frémit, va pour ajouter quelque chose, se ravise et élude : — Je vais me préparer. On va chez Clara… lâche-t-elle sans me regarder. Nous achetons un gros bouquet de fleurs pour Clara et, frais et pimpants, nous arrivons chez elle. Une pensée à ce moment pour nous trois. Loin d’ici, dans des conditions complètement différentes, chez la même Clara. Que d’événements depuis ! Elle nous accueille, tout sourire, décontractée, en jean et t-shirt. — « Il » est parti il y a peu… quelle nuit ! nous dit-elle en riant. Nous apprenons qu’il s’appelle Arnaud, est beau, gentil, intéressant, « argenté », bonne famille, bonne situation : bref, une idée de l’homme « idéal ». — Le mari parfait ! conclut Clara, mais…— Pas un amant… achève Laure en faisant la moue, hein ?— Tu as deviné ! Je rame, mais je rame ! Enfin, bon… continue Clara en souriant, j’ai quand même réussi à ce qu’il me fasse une ...