Un week-end torride. Dimanche
Datte: 20/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
amour,
volupté,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
ecriv_c,
... petit paquet sur ses genoux.— Pour moi ? Et elle s’empresse de l’ouvrir. Un simple jonc en or avec serti, un petit brillant. « Oh ! Tu es fou ! » s’écrit-elle, « tu me le mets ? » et elle se lève pour m’embrasser, retenant ses larmes. Radieuse, toute excitée, elle m’invite à venir près d’elle pour m’embrasser cette fois à pleine bouche. Un long, long baiser. o-o Après cet événement imprévu nous faisons honneur au repas préparé par Clara. Celle-ci nous place l’un à côté de l’autre, face à elle. « On ne sépare pas des fiancés » dit-elle en retenant son émotion. Une ambiance folle règne, où nous parlons de nous, du mariage de Clara et maintenant du nôtre avec Laure. L’idée survient naturellement. — Et si nous faisions ça le même jour, au même endroit ? Mais oui… bien sûr… et l’affaire est entendue ; reste à l’organiser… — Et avec Laure nous enterrerons notre vie de jeune fille en même temps ! précise Clara en riant, cherchant mon regard.— J’imagine que ça va être chaud ! dis-je, me souvenant de ce qu’elle m’avait dit à ce sujet.— Euh oui ! dit Laure, il faudra que l’on se trouve deux beaux gars ! Rien que pour les énerver ! Et adieu ! Ou deux filles, des blondes à gros seins ! Clara me jette un coup d’œil. — On verra, on verra, j’ai une idée, on en reparlera… pouffe-t-elle Laure se tient tout près de moi, ne me lâche plus la main. Très câline, elle nage dans le bonheur de notre projet. Sa tête se laisse aller sur mon épaule et, souvent, m’applique des petits baisers. Clara ...
... nous observe, attendrie. — Vous êtes beaux tous les deux, deux pigeons ! Je vous envie… Dessert et champagne à présent. Nous sommes repus, les joues un peu rouges, les yeux brillants. Clara s’empare de la bouteille. « On va fêter ça… » s’écrit-elle en la débouchant. Le bouchon saute trop vite et nous sommes largement aspergés, d’autant qu’elle essaie d’arrêter le jet avec la main… Rires. Clara et Laure sont bien douchées, et chacune s’en lèche les lèvres. — Ah bravo ! s’écrit Laure, je suis trempée ! Et toi ma chérie, tu t’es vue ? Clara, penaude mais riant, dit vouloir aller se changer. Laure intervient, enjouée : — Non ! Ici Clara ! Aller, Clara ! A poil, à poil, à poil ! imitant le refrain bien connu…— Chiche ! lance-t-elle, mais toi aussi ! Je vais t’aider… Et elles se lèvent, l’une enlevant le chemisier ou le t-shirt de l’autre dans un chahut des mains et des bras. Toutes les deux en soutien-gorge, elles s’essuient à petits coups de langue en rigolant comme des gamines. Je n’en perds rien, les admirant, appréciant ces seins bien fermes contenus dans la lingerie fine… Magnifique ! Le plaisir des yeux, le plaisir des dieux… Pause. On se rassoit et on déguste le gâteau et ce qui reste de champagne. Pas un instant aucune n’a songé à se couvrir… et elles sont là à me narguer de leurs trésors, sans aucune gêne. Laure soupire, place sa tête dans mon cou, me prend le bras pour que je l’enlace. De cette manière ma main est à la hauteur de sa poitrine, tout près. — Je suis bien… ...