1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 20/08/2017, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c,

    ... grand jeu ! Attention, tu assumes alors !— Quoi, j’assume… c’est à dire ? je réponds, narquois.— Tu assumes ! Tu sais bien…— Que je te saute dessus, que je te baise ! C’est ça ? Feignant la colère elle me lance : — Arrête ! Rien que ce mot ! Ah ! tu n’es pas sympa… Se reprenant, plus sérieuse, elle ajoute : — Bon je me débrouille. Aller on va passer à table, ressers-nous un apéro, corsé pour moi, ce soir, je bois ! o-o Elle s’est changée. Une robe longue d’intérieur, soyeuse, boutonnée devant, de l’encolure au bas de l’ourlet. Un décolleté discret qui néanmoins laisse plus que deviner sa belle poitrine. — Voilà, tenue sage, pour un Monsieur qui sera sage, me dit-elle presque froidement.— Oh ! si c’est pour les boutons, avec un peu de patience ! la plaisanté-je Nous buvons, et elle se ressert. Elle rosit, ses yeux brillent… — Tu bois trop ! lui dis-je. Tu es belle dans cette robe ! Et dessous, t’es comment ?— Dessous ? Devine ! Si tu voyais, sûr, sur le champ, tu me violes ! Nous sommes assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. En riant je fais mine de regarder entre deux boutons. — Non, non… répond-elle en me repoussant mollement, on est sages, tant pis pour toi !— Si, si, insisté-je, montre ; montre juste un bout ! En soupirant, elle défait trois boutons à la hauteur de la poitrine et écarte. J’entrevois un soutien-gorge blanc en voile transparent… la chair d’un sein. Sublime, le blanc ressortant sur sa peau de brune. — Hop ! ça suffit… s’écrit-elle en refermant, tu veux ...
    ... voir la suite ? Sa respiration se fait plus forte, elle s’excite. Elle défait trois nouveaux boutons, à la hauteur du haut des cuisses, écarte. Cette fois le slip boxer qu’elle acheté hier « pour moi », lui aussi assorti, également en voile blanc. Je siffle, admiratif. — Ouais ! Super, c’est vrai que…— Et enfin, regarde… susurre-t-elle en déboutonnant quelques boutons plus à mi-cuisses. Et là, c’est le haut de bas blanc que j’aperçois ! La garce ! le catalogue complet, et elle voudrait que je sois sage ! Je me rejette en arrière, troublé. — Tout ce que j’aime ! Bravo ! Tu es magnifique ! Ah ! Calmons-nous ! Clara est ravie, ravie que j’apprécie et que cela m’énerve… Elle sait y faire… — Voilà ! Juste pour le fun… Tu n’es pas bien, hein, maintenant ? Aller on dîne ! o-o En tête-à-tête, nous dînons, à la lumière de quelques bougies, comme des amoureux. Elle est belle… Ah ! Laure, où es-tu ? J’ai peur de craquer ! Je culpabilise alors que je sais que mon aimée m’engage à m’occuper de son amie ! Nous venons à parler d’amour, de choses intimes, à mots choisis. Tellement intimes qu’à un moment Clara me murmure : — Dis donc… Laure m’a fait des confidences. Il paraît que… enfin, pour un peu tu as failli, par derrière, tu vois ? Je dois rougir, gêné. — Euh ! oui. Un accident… Mais non, finalement. Mais elle t’a parlé de ça ! Clara me prend la main. — Laure me dit tout… Entre filles, tu sais bien, et elle m’a même dit qu’elle aurait aimé… que tu essayes, mais bon, je crois que ce n’est ...
«12...8910...»