1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 20/08/2017, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c,

    ... que partie remise ? Elle me regarde, puis fixe sa main qui tient la mienne, puis ajoute : — Je ne connais pas non plus. Je ne sais pas si j’aimerais… tu imagines, il y en a qui aiment ça, et même qui aiment beaucoup, c’est gros, dans les fesses ! Encore plus gêné et pris par une érection douloureuse je bredouille : — Attends ! On peut s’en passer, si ça doit se faire, ça viendra naturellement… en amour si on est d’accord ! Elle relève la tête, secoue ses cheveux, griffe ma main, avale son verre d’un coup. — Cul sec ! me jette-t-elle en riant. C’est le cas de le dire ! Et… et si je te le demandais ? Si je te demandais d’essayer ! Pan ! Dans le cul ! Aïe ! Tu me déchires… arrête ! Non, continue ! Allez, profond ! Prise d’un fou rire nerveux, elle semble vivre l’événement ! La boisson, sans doute, pensé-je, la boisson ou la curiosité, ou encore, plus probable, le fait que ce soit envisagé, un jour, avec Laure… o-o Il est tard, et je dois rentrer. Clara est soudain triste, dégrisée. Je suis presque à la porte, prêt à sortir. Elle s’interpose, dos à l’huisserie. Ses bras m’enlacent, ses yeux se font suppliants… — Reste ! Reste ! On dort seulement, mais reste ! Seule, je ne dormirai pas… Que faire ? Bon Dieu ! Ces deux filles… — Tu es sûre… dis-je embarrassé et en même temps fou de désir.— Oui ! Allez viens… Et demi-tour ! Elle me pousse dans sa chambre… o-o Les deux mains sur mes épaules elle me regarde défaire un à un tous les boutons… Progressivement elle m’apparaît demi nue, ...
    ... dans sa lingerie. « Je reste comme ça ! » souffle-t-elle. Un modèle de magazine, mais en trois dimensions, avec des rondeurs palpitantes, des senteurs et c’est bien vivant ! Elle gémit, et avec des petits cris me déshabille. Ses yeux et ses mains ignorent ma virilité dressée et elle m’entraîne sur le lit, se cache sous les draps et se serre contre moi. Je sens ses mains me parcourir mais éviter tout geste définitif… — Clara ! murmuré-je, Clara, arrête… Mes propres mains la caressent, appréciant ses formes à travers la dentelle, le voile des tissus. Pire que le nu intégral ! Un festival des sens ! Un appel à monter à l’assaut… Elle frémit, geint, se tend, souffle comme attendant l’estocade, le moment où le point de non-retour sera atteint… À son tour ses caresses se font plus précises, plus pressantes mais contournent l’essentiel. Une lutte de nos corps, de nos âmes qui refusent et veulent à la fois, un jeu où aucun ne veut céder… espérant et craignant que l’autre fera le geste, la caresse de trop. — Jean-Pierre, non ! Non ! râle-t-elle Une bretelle de soutien-gorge qui se défait, un sein qui se libère, un téton qui soudain m’agresse… et puis simultanément une main qui me saisit au point sensible puis me relâche… Mes doigts aussi qui rencontrent une humidité qui s’épanche dans la chaleur de ses cuisses, la couture de son slip qui souligne la zone interdite, une phalange qui se glisse dessous, puis deux, puis la main… Qui va craquer ? Ce supplice est à son comble ! Moi je n’en ...