1. Un service


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... vitupère pas. C’est déjà cela. oooo0000oooo Ce qu’il ne sait pas c’est que la donne a changé depuis le départ de Charles en classe nature. En regardant sur notre ordi, j’ai bien sûr retrouvé les sites qu’il regardait, mais aussi des échanges de mail avec un correspondant qui m’était inconnu. Les deux hommes parlaient manifestement en toute liberté de tout ce qui touche à la sexualité. Charles avouait son envie de voir sa femme avec un autre. Son correspondant l’engageait à le vivre vraiment lui faisant une description qui ne pouvait qu’être alléchante. Charles répondait qu’il n’oserait jamais m’en parler, que j’étais trop rigide et qu’il aurait trop peur de me perdre si je prenais mal sa proposition. Mais à la demande de son correspondant, il avait rédigé un texte qui décrivait dans les moindres détails de ce qui serait pour lui le summum de ses envies. J’avais alors compris que mon mari n’avait pas osé m’avouer son envie et même affirmé le contraire lorsque j’avais abordé la découverte de ses lectures candaulistes. L’avantage du téléphone, c’est un peu comme les échanges de mail ou de SMS, l’absence physique de la personne libère la parole. J’ai donc abordé le sujet avec Charles et il a été obligé de reconnaître son fantasme. Nous avons longuement discuté, de plus en plus librement et finalement j’ai dit que j’étais d’accord. Restait bien sûr à trouver les bonnes conditions. Il n’avait pas de candidat. Je n’avais pas d’amant. La suite a germé dans mon cerveau. oooo0000oooo ...
    ... Nous entrons dans la pièce ou Sam nous attend. Un Sam qui a enfilé un pantalon. La peur de se sentir un objet sexuel peut-être. — Charles, je te présente Sam. Sam, voici Charles mon mari. Les hommes se saluent. Sam offre à boire. — Ma femme vous plaît ? C’est la première ligne du texte de Charles. Texte qu’il a écrit dans la solitude de son fantasme qu’il pensait irréalisable et que je lui offre la possibilité de vivre. Lors de nos conversations, j’avais parlé de son texte en lui disant combien je l’avais trouvé excitant pour moi aussi. L’entendre change aussitôt l’ambiance. Si Sam n’est pas au courant des détails, il peut bien imaginer avec le vécu qui est le sien. — Beaucoup !— Chérie, lève-toi et montre-lui combien tu es belle. Bien sûr, je m’exécute. — Ouvre ton manteau. Défaire chaque bouton est comme si ma vie en dépendait. J’apparais telle que Sam m’a vue tout à l’heure, mais pas encore mon mari. J’aime le regard qu’il me porte. Quelle femme n’apprécierait pas que son mari, avec qui elle vit depuis tant d’années, porte encore sur elle un regard de fierté, d’envie, d’amour. Il tourne autour de moi. Ses mains se saisissent de mon manteau et le font glisser de mes épaules. J’apparais avec mes parures. Parures de dentelle, de cuir et de soie. Exactement comme l’avait pensé Charles dans sa vision. Tout était décrit avec une précision comme s’il l’avait déjà vécu. J’ai commandé sur le net avec livraison d’urgence pour tout rassembler. Petit collier de cuir laqué avec strass ...
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