1. Un service


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... autour du cou. De l’anneau pend une fine laisse métallique qui tombe jusqu’aux reins. Soutien demi-balconnet noir quipush up mes seins pour en montrer un lobe supérieur parfaitement arrondi et un téton qui semble reposer sur l’armature habillée de dentelle. Le porte-jarretelles est plus classique et maintient les bas de soie. De soie noire ! Enfin, la culotte, triangle si insignifiant que l’imaginer fendu aurait été superflu, uniquement retenue par trois ficelles qui ceinturent les hanches et dont l’une disparaît dans la raie de mes fesses pour revenir au niveau des reins. Charles découvre ce qu’il a rêvé, mais j’aime aussi le regard admirateur de Sam qui m’a pourtant déjà vue ainsi. — Tourne-toi pour qu’on te voie bien. Non, je ne me sens pas humiliée de cette demande. Non, je ne suis pas une esclave que le trafiquant vend au plus offrant. Oui, je suis le centre du monde. Un monde ou deux hommes m’admirent. Ou l’un, mon mari veut offrir à l’autre ce qu’il a de plus cher. Ou l’autre, Sam, ne souhaite que cela. Cette offre augmentant encore son désir. Et moi ? Moi, la femme modèle. Moi la femme qui a découvert cette nuit ce que partager veut dire. Et bien moi, je me sens bien dans ce rôle. — Sam. Approchez, reprend mon mari. Regardez comme ses seins sont fermes. Il détache mon soutien-gorge. — Sentez la douceur de sa peau. Des mains me caressent. Je frémis. Je sens que ma culotte est enlevée. Même ce détail a été pensé par Charles. La culotte devait être mise par-dessus le ...
    ... porte-jarretelles afin de pouvoir la faire descendre. Car son rêve est que je reste gainée de soie noire. Pourquoi ne m’a-t-il jamais demandé de m’habiller ainsi ? Mais c’est trop tard. — Elle est à vous. C’est mot pour mot ce qu’il a écrit. Charles recule me laissant seule avec Sam. Je connais mon rôle. Sam non, mais il est bien facile de le conduire. Il me caresse. Juste des effleurements comme s’il n’osait pas encore. Pas encore, devant cet homme qui regarde. J’ai bien fait de le choisir lui, car en plus de son charme et de sa jeunesse, il a l’expérience acquise au club avec son ex-maîtresse. Ce n’est pas si facile de rester naturel devant un mari, surtout qu’il sait que c’est pour lui et moi notre initiation. Mais mon mari m’a écrit un rôle de femme volontaire qui fait plus qu’obéir à son mari. C’est cette femme qui saisit les mains de Sam et les plaque sur ma poitrine et sur mon sexe. C’est cette femme qui gémit lorsqu’on la caresse. C’est elle qui embrasse goulûment son partenaire. C’est elle qui pousse Sam vers le canapé. Dans le récit, Charles précise bien que cela doit se produire ailleurs que dans une chambre, pour conserver le côté spontané. C’est à nouveau elle qui aide l’homme à enlever son pantalon et fait suivre le slip. C’est elle qui le pousse à s’asseoir. Un instant elle regarde. Elle découvre son partenaire. Elle est heureuse de voir sa verge déjà un peu en érection. La femme découvre, mais moi je l’ai déjà vue. Charles ne doit pas le savoir. J’ai vu, mais je ...
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