Un service
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... n’ai pas consommé. Enfin pas lui… — Suce-le. La voix de Charles me sort de ma rêverie. Il a dû croire que j’hésitais. Je le regarde. — Suce, ma chérie. Montre-lui. Bien sûr que je vais le sucer. Depuis cette nuit cette envie me tenaille. Sucer la bite qui baisait ma voisine. Mais je ne suis pas la seule à être excitée. Charles a sorti son sexe et il bande déjà. Il est tellement à l’étroit que sans me quitter des yeux, lui aussi se déshabille. Mes lèvres sont du velours. Elle découvre la douceur de la fine peau du gland, cette peau si sensible. Et puis le sillon, transition magique entre la rondeur du gland et la peau de la hampe. Cela paraît si simple si évident, mais quel miracle ! Avez-vous déjà vu un sexe d’homme transi de froid ? Verge et couilles ne sont plus que des masses recroquevillées. Mais la chaleur, l’excitation et que dire de la fellation, transforment ce petit bout en bâton conquérant multipliant par, deux, trois, cinq, dix fois le volume et la longueur. Sam bande, mais je sens bien que la croissance continue. Si je restais immobile, les lèvres figées, je pense que je sentirais la reptation de la bête. Mais la bête, je l’apprivoise. La bête vibre dans ma gorge. La bête bouge sous ma langue. La bête brille bientôt de ma salive et maintenant le silence de la pièce n’est rompu que par le bruit de ma gorge brassant la salive. Une ombre à côté. Mes yeux découvrent Charles juste à ma droite, spectateur de ma fellation. Que je suis heureuse ! Sa venue est la preuve ...
... que mon mari sort du cadre qu’il a imaginé. Récit trop réfléchi, trop policé alors que ce que je lui offre le ramène à la réalité. Il me regarde et jamais je n’ai été si attentive. Je m’applique comme lors d’un examen de passage. La queue de Sam est bientôt une sorte de trophée que je dois apporter à mon mari. Je m’étouffe et je pleure pour m’efforcer de le gober tout entier. Mais quel bonheur de sentir, ne serait-ce qu’une seconde, mes lèvres venir buter sur les couilles de mon amant. Quel bonheur aussi de voir les filets de salive qui se tendent entre mes lèvres et la queue lorsque je l’abandonne le temps de reprendre ma respiration. Charles regarde. Son visage est tout là-haut et je ne le vois pas, mais sa queue n’est pas loin et elle parle pour lui. Son érection est magnifique. Ainsi ni lui ni moi nous sommes trompés dans notre envie de candaulisme. Mais moi j’en veux plus. Le récit reprend sa place et mon envie si bien décrite montre son visage. En me levant, je croise mon mari. Est-il inquiet de me voir monter sur mon amant et me placer pour m’empaler sur la queue préparée ? Dans son récit il parlait de capote, mais je sais par nos confidences respectives que Sam estclean. Descendre sur le mandrin est un bonheur. Si Charles ne regardait pas, je me laisserais tomber pour me sentir possédée. Mais je comprends son envie de faire durer cet instant. Millimètre par millimètre, le mari voit la bite de l’amant avancer dans l’intimité de son épouse. Une épouse qui joue le jeu. Une ...