1. Henriette


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, hh, fhh, 2couples, fplusag, jeunes, extraoffre, inconnu, voisins, photofilm, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, init,

    Assis tranquillement chez moi, mettant de l’ordre dans mes cartons, je tombe sur d’anciennes photographies noir et blanc de qualités pictographiques étonnantes, au contraire de certaines photos couleur qui n’ont pas tenu le temps et sont complètement délavées. La première qui retient mon attention est celle de mon ami d’enfance Norbert, à 19 ans environ, à poil, au milieu d’un champ de luzerne, la pine en porte-drapeau, bien droite, 19 cm de longueur pour un diamètre de 4 cm. Nous nous étions amusés à mesurer nos bites, à les placer côte à côte pour les comparer. La sienne bien droite, la mienne incurvée vers le haut. Norbert était fier de la longueur de sa bite, malgré son diamètre inférieur à la mienne. Nous nous étions rencontrés bien avant, vers l’âge de 14 ans, dans la cour de l’école. Une des premières choses que nous avons fait ensemble, après notre rencontre, fut de nous montrer nos verges, d’abord molles, puis après astiquage, en érection. La courbure de ma bite l’avait grandement surpris, j’en avais même eu quelques complexes. Norbert disait que ce n’était pas normal, « un pénis est toujours droit…! ». Avant de le rencontrer, mon activité sexuelle se résumait à une masturbation quotidienne en solitaire. Avec Norbert nous nous la sommes pratiquée mutuellement, d’abord chez lui, dans sa chambre, le sperme dans un mouchoir. Puis dans les différentes pièces de son appartement, la cuisine, la salle de bain, les WC. L’excitation était à son comble lorsque Norbert ...
    ... m’astiquait sur le lit de la chambre à coucher de ses parents et lui était aux anges lorsqu’il éjaculait dans les draps du lit de sa mère. Ces petits jeux pervers nous comblaient. Les fantasmes évoqués ensemble tournaient autour des filles de l’école. Dans nos rêves, nous les prenions l’une après l’autre, nous nous occupions de leurs nichons (celles qui avaient les plus gros avaient notre faveur), nous imaginions leurs fesses dénudées et fantasmions sur leur sexe. C’était pour nous le plus grand des mystères, qu’y avait-il là dedans, quels secrets cachaient-elles ? Une ou deux demoiselles un peu délurées nous avaient baissé leur culotte et montré leur fente, mais aucune ne l’avait vraiment écartée. En échange nous leur montrions nos deux verges, l’une droite, l’autre courbée, jumelles malgré tout, complices en tous cas. C’est vers 18 ans, après avoir été pendant une longue période éloignés l’un de l’autre, que notre vision du monde bascula. Norbert avait eu quelques expériences avec des filles ; quant à moi, j’avais eu une liaison régulière, mais sexuellement très frustrante, la demoiselle n’acceptant que des caresses. Elle en faisait peu elle-même, et surtout pas en dessous de la ceinture, c’était « sale », disait-elle. Nous nous sommes retrouvés chez Norbert, nus, comparant encore une fois nos sexes. Et il commença immédiatement une fellation profonde et vigoureuse, faisant entrer et ressortir ma verge de sa bouche. Il avait une certaine expertise de la chose, pour moi, c’était une ...
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