Henriette
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
2couples,
fplusag,
jeunes,
extraoffre,
inconnu,
voisins,
photofilm,
Oral
pénétratio,
hdanus,
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init,
... première, il ne fallut pas plus de trois minutes pour produire une éjaculation abondante au fond de sa gorge. Norbert cracha mon sperme dans sa main et en badigeonna mon anus. Il y introduisit un doigt, puis deux. Il pointa sa bite devant le sphincter et s’engagea dans mon rectum sans autre forme de procès. J’étais sous son influence et il me semblait normal d’accepter tout ce qu’il proposait. J’eus un peu mal, mais rapidement mon plaisir fut à son comble. Je me remis à bander et lui enfournai l’anus à mon tour. Ce petit jeu devint presque journalier, nous pratiquâmes la sodomie très régulièrement, dans la chambre de ses parents, sur le lit de sa mère particulièrement. En fouinant dans les tiroirs de la table de nuit de son père, Norbert trouva une liasse de photos pornographiques noir-blanc qui devaient être régulièrement consultées, vu l’état de dégradation de celles-ci. Un jour que nous étions en train de réaliser une fellation mutuelle, positionnés en 69, avec les photos pornos étalées autour de nous, sa mère rentra plutôt que prévu et nous surprit. Ouvrant la porte de la chambre, elle nous observa dix secondes, passant des yeux de son fils aux miens, regardant nos sexes en érection, nos airs contrits. Elle referma la porte sans dire mot, neutre et détachée. Je compris quelques jours plus tard la raison de son indifférence apparente. Un après-midi que Norbert n’était pas présent, elle me convoqua et m’aborda immédiatement en me faisant des reproches sur les tendances ...
... homosexuelles que j’allais transmettre à son fils. Elle me baissa le pantalon, le slip et me caressa. Je me mis rapidement à bander, elle me prit dans sa bouche et me fit éjaculer. Un long baiser lui permit de me transmettre une grande partie du sperme. Je me laissai faire, goûtant pour la première fois à une femme, d’âge mûr, j’en conviens, mais tellement douce et prévenante. Ce fut le commencement de mon éducation à l’amour. Margot, tel était son prénom, me prit sous son aile et m’emmena au pays de son corps, comme le chantait Catherine Le Forestier. Elle m’ouvrit aussi l’esprit à l’art, à la peinture particulièrement, et à la musique. C’est sous son influence encore que je pris goût à la photographie. Dès le début elle me regarda avec bienveillance, était-elle un peu amoureuse ? Margot mit mon corps en valeur et lui donna le goût du plaisir, l’envie d’aimer, et souvent de jouer. Elle m’ouvrit les yeux sur le corps des autres, les hommes, les femmes, les visages, les regards. Elle y amena beaucoup de douceur et en même temps une rigueur quasi monacale. Pour cette première fois, et sans qu’elle m’autorise à remettre mon pantalon, elle me prêta un appareil de photo semi-professionnel, me demandant de la photographier en train de se déshabiller. Elle s’éloigna et commença à tournoyer, que je voie ses formes et son allure, son sourire enjôleur. Je la vis pour la première fois, non plus dans le rôle de la mère de mon ami, mais en femme, belle, enjouée, prête à séduire. J’appris ...