Henriette
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
2couples,
fplusag,
jeunes,
extraoffre,
inconnu,
voisins,
photofilm,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
init,
... aussi que le photographe, camouflé derrière son viseur, peut regarder sans retenue, se "rincer l’œil", sans que le modèle en prenne ombrage. Margot approcha le visage de l’objectif, ses yeux vert foncé mis en évidence, ses longs cils bien soignés, son maquillage délicat, ses pommettes légèrement rosées, sa bouche aux lèvres un peu charnues entourant de belles dents blanches parfaites lui conférant un sourire pétillant. Ses cheveux foncés aux reflets roux coupés à la garçonne la rajeunissait, elle devait avoir 45 ans. Elle était grande, me dépassant de quelques centimètres. Son corps un petit peu enveloppé, montrait qu’elle avait été très belle, avec des seins volumineux, un petit ventre proéminent, des fesses en forme de poire, des hanches relativement larges, des jambes solides très bien galbées. Ses gestes étaient ceux de quelqu’un de stable, assuré, une maîtresse femme. Elle me toisa en enlevant son pull, arrêta son mouvement, les yeux cachés par le tissu et tourna sur elle-même, plusieurs tours, aveugle, à la merci de mon regard avide. — As-tu pris des photos ? me demanda-t-elle. La jupe glissa comme par enchantement le long des jambes. Troublé, je n’en ai saisi ni la subtilité, ni les implications, l’engrenage dans lequel nous nous dirigions. Margot était en petite culotte, soutien-gorge, porte-jarretelles et bas à reflets grisés. Sa poitrine remplissait abondamment les bonnets, en débordait même en petits bourrelets gracieux, la vallée entre les deux seins était ...
... profonde et tentante. Elle entreprit de descendre ses bas nylon avec lenteur et application. Ses jambes bronzées, aux cuisses amples, m’excitèrent. Le sexe au garde-à-vous me démangeant, je l’astiquai délicatement entre deux prises de vue. Elle sourit, se coucha sur la table et me demanda d’approcher pour réaliser en gros plan des photos de ses jambes, de la bosse que son sexe formait sous la culotte, des poils apparaissant dans l’échancrure du tissu. Elle me recommanda de m’appuyer sur son estomac pour mieux visualiser les seins tendus dans le soutien-gorge blanc, pareils à deux montagnes enneigées. Elle se mit sur le ventre, ses fesses tendirent le tissu, la raie ombrant le slip blanc. Lui écartant les cuisses, je pris des photos de son entrejambe rebondi et humide. La lenteur de notre ballet créait une atmosphère irréelle, un monde de voluptés et de senteurs, escamotant le réel. Margot se souleva un peu et fit descendre son slip à la moitié des fesses, nouvelles photos, nouvelles perspectives. Le décrochement du soutien-gorge me ramena brusquement à la réalité : sa nudité allait bientôt m’apparaître dans toute sa splendeur. Son large dos nu m’excitait au plus haut point, je n’allais pas tenir le coup longtemps. Elle se souleva lentement, décollant partiellement les seins de la table, tête levée. Je tournai autour d’elle avec l’appareil de photo en main pour ne pas en perdre une miette. Elle jubilait de me voir la langue pendante, haletant, les yeux un peu fous de ce qui ...