Dame Erika (11)
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Chapitre 11 : Fin de soirée LIOUBOV Cette longue soirée hors du commun s’est terminée dans la liesse générale et, comme l’avait prédit Élise, par une orgie monumentale en refaisant une partie du spectacle. Les maîtres des lieux sont largement remerciés pour l’organisation de ce dîner royalement bon ; ils sont aussi admiratifs devant le culot de l’animation : nul besoin de dire que les hommes ont apprécié le spectacle. Pour les femmes, c’est moins évident à voir, mais leur démarche indique assez clairement qu’elles ont l’entrejambe quelque peu dégoulinant. Pour l’équipe d’acteurs, Dame Erika a fait préparer deux chambres aménagées à l’identique de la sienne. La fatigue – et un peu de claret – ont eu raison des acteurs. Élise demande l’autorisation de se retirer à Dame Erika qui appelle ses deux servantes pour les accompagner. ************************************************************************ PAT Nous avons passé une soirée terrible, épuisante, mais nous allons nous retaper rapidement une bonne nuit là-dessus, dans un vrai lit confortable, enfoncés dans un matelas moelleux. Une bonne nouvelle, dans tout cela : ils ne vont pas nous estourbir ou mortir, comme ils disent. Sara nous accompagne à nos chambres. Il y en a deux ; entre elles, une sorte de salle de bain, comme celle de Dame Erika. L’immense baquet rempli d’eau trône au milieu de la pièce ; il nous attend. Je plonge ma main dans l’eau pour évaluer sa température : elle est juste parfaite, un peu fraîche. C’est ...
... magnifique : nous allons pouvoir nous laver pour ôter cette sueur et ces dégoulinures de foutre et de flux de ces damoiselles. Dommage qu’il n’y ait pas de douche ; mais à deux avec un broc, cela fera l’affaire. J’ai le sentiment que, depuis la fin du spectacle, il y un malaise entre les deux filles ; elles se sont à peine regardées et parlé. C’est peut-être la fatigue ? Car ce genre de spectacle, c’est plutôt sportif, un vrai marathon. Il a fallu se donner à fond pour les satisfaire, tous ces braves gens ! Et moi qui suis en train de tomber amoureux des cette jolie blonde d’Élise… Elle a un cul ! Et de ces nichons… Oh, sans déconner, aïe aïe aïe ! Je suis un peu dérouté, moi, le Marseillais, la grande gueule, le mec qui a baisé la moitié des filles de la Terre entière : voilà que je tombe amoureux de cette belle blonde, moi qui n’arrête pas de raconter des conneries sur les blondes… Oh, putain, je n’ai pas l’air un peu con, maintenant ! Élise vient me voir ; elle semble inquiète, elle n’est pas dans son assiette. — Pat, je vais me laver avec Tina. — Ça va ? Tu n’as pas l’air bien. Son regard me transperce ; je frissonne. — Si, si, ça va. Je reviens. Elle part, prend Tina par la main puis disparaît dans la salle de bain, tirant la porte derrière elles. J’ai le cœur qui cogne dans ma poitrine : il n’y a pas que son cul qui me fait vibrer ; je suis gaga quand je la regarde. Les dieux de l’amour m’ont frappé. Sara, restée avec nous, nous propose de prendre un verre de vin et nous ...