Dame Erika (11)
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... lui faire éprouver un orgasme rapide et violent, d’où cet excès de fausse violence). Tina prend la tête de Sara et lui roule une pelle goulue, effrénée, tandis qu’Élise lui engloutit le clito. Puis, alors que Tina lui fait subir des morsures sur les tétons, elles la basculent sur le côté. En un éclair, la tête de Sara se trouve bloquée entre les cuisses de Tina qui a la tête dans celles d’Élise alors que la sienne est entre les jambes de Sara ; en gros, elles se lancent dans un 69 à trois ; un 696 ou un 969, je ne sais pas trop. Et nous, tranquilles… Nous regardons les trois filles en train de se gouiner, de se bouffer la chatte ; et ça miaule, et ça couine, putain con ! Elles me font bander ; je vais être obligé de me branler, tout à l’heure. Et les filles qui gesticulent dans tous les sens… Élise fourre trois doigts dans le vagin de Sara ; l’autre main lui attrape un sein, puis un téton. Sara gémit, imite Élise. Tina gémit aussi, et c’est Élise qui gémit à son tour : la boucle est bouclée. La main de l’une dans la chatte de l’autre, elles se secouent le clito, se lèchent la moule, s’aspirent la vulve. Un cri, un ordre : — Tina, fous-lui tes doigts dans le cul ! Élise, déchaînée comme jamais, entame un fist vaginal sur les deux filles pendant qu’elles se roulent une galoche endiablée. — Tom, tu as vu les gonzesses quand elles se déchaînent ? Et nous, même pas une pour nous branler ou nous sucer ! Oh, t’imagines… — Au point où on en est, je te branle si tu veux… propose Tom, ...
... sauf que le ton n’y est pas et, sur le coup, je ne fais pas gaffe. — Putain ! Oh, t’es pédé ou quoi ? T’es un grand malade ! — Je plaisante, mec. Si tu as besoin, tu te démerdes tout seul ; je ne te touche pas. — Hé, Tom ! Et si Dame Erika nous le demande, on fait quoi ? — Eh bien, on sera dans la merde ! J’espère qu’elle n’aura pas une idée aussi con, ni les filles non plus. Je ne sais pas de quoi est capable Élise, mais à la voir en ce moment, je crains le pire… — Écoute, Tom, on gérera le moment venu. Les filles sont plus déchaînées que jamais ; elles sont en train de se masturber avec une force qu’elles vont s’en bousiller la chatte, et maintenant elles se mettent à gueuler comme des folles, secouées comme des poupées de chiffon. Qu’est-ce qu’elles se sont mis ! À la vue de ce spectacle, pas besoin de branlette : à notre grande surprise, nous avons éjaculé – le jet a bien failli atterrir dans ma coupe – sans même nous toucher, et presque en même temps. Je n’aurais jamais cru cela possible. Les filles se sont calmées, ébouriffées comme si elles avaient pris un coup de mistral, puis elles se lèvent. Sara, le visage radieux, frétille, saute. Les filles nous regardent et éclatent de rire. Élise est pliée en deux. — Hé, les filles, vous avez vu les mecs, l’effet qu’on leur a fait ? Dites, vous vous êtes branlés ? — Nous, on n’a rien fait. Pourquoi ? — À cause de ce qui vous dégouline sur le bide. Ce que vous êtes mignons comme tout, les deux, la queue en l’air, la coupe à la ...