Dame Erika (11)
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... faire bander une armée entière. En parlant de bander, j’en fais partie, de l’armée, et c’est moi le chef ! Elle a la peau douce et blanche, d’un blanc presque comme de la neige. Et ses seins, oh la là ! Je les prends les deux, un dans chaque main ; ils sont juste à la bonne taille, celle de mes mains. Et son pubis fraîchement rasé, que du bonheur ! Elle se colle à moi, passe ses bras autour de mon cou, fait rouler mon sexe contre son ventre. Tom s’occupe de l’arrière, moi du devant, à quatre mains. Le rythme de sa respiration montre son état d’excitation. Tom a placé son sexe contre ses fesses ; elle le sent, c’est obligé : il est bien monté, ce con ! Je prends la tête de la belle pour lui rouler une pelle de fou, puis je l’accompagne jusqu’à ma bite. Elle se courbe en deux, offrant à Tom sa vulve prête à l’accueillir. Sans autre forme de procès, Tom lui enfourne sa queue dans le vagin, et moi dans sa bouche. Il la besogne doucement, puis augmente progressivement le rythme. Le mouvement est fort, régulier ; son ventreclaque contre ses fesses. Elle gémit à chaque coup de boutoir de Tom tandis que ma bite tape au fond de sa gorge ; on entend à peine ses cris étouffés. En peu de temps, Tom lui éjacule dans le fourreau et moi dans la bouche, ce qui lui provoque une quantité incroyable de spasmes puissants qui font vibrer tout son corps. Nous la relevons et la prenons en sandwich entre nous deux pour qu’elle sente bien contre elle nos membres encore bandés. Nous nous regardons ; ...
... je lèche avec tendresse la petite larme de bonheur qui coule le long de sa joue. À peine la larme essuyée, elle me prend par les joues et m’enfourne salangue dans la bouche. « Hum… Putain, elle est dégueu : elle a dusperme dans la bouche, c’est infect ! » j’enrage ; je me suis fait avoir. Elle se retourne et roule une galoche de fada à Tom. C’est à ce moment-là que les filles font leur apparition, nues. Elles nous regardent de leurs yeux rougis : j’ai la certitude qu’elles ont pleuré. — Que se passe-t-il ici ? Ah, vous ne perdez pas votre temps ! Dès qu’on tourne le cul, vous en trouvez une autre ; c’est bien les mecs, ça ! hurle presque Élise. — Non ! Non ! C’est moi, damoiselle Élise, c’est moi qui ai demandé. Pardon, je… — Ah, c’est du cul que tu veux, ma belle ? Viens, en va t’en donner ! Tina, amène-toi, on va lui faire sa fête à celle-là ! Le son de sa voix est faussement agressif. Les deux filles attrapent Sara chacune par une main et l’entraînent avec une telle force qu’elle touche à peine le sol ; elle crie de peur, ou de surprise. Elles la jettent littéralement sur le lit et lui bondissent dessus. Eh bé… Je ne sais pas ce qui leur prend, mais elles mettent le paquet. Tom et moi nous calons dans les doux fauteuils. La coupe d’hypocras à la main, nous savourons le vin et le spectacle ; pas besoin de télé, ici, c’est cool. Les deux filles sont déchaînées. Je ne sais pourquoi elles sont comme ça, mais elles y mettent du cœur (Élise me dira plus tard qu’elles ont voulu ...