1. LULU 4


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... finir un diamètre et à ébarber les bords. Il ahanait sur elle, son haleine était chargée d‘alcool, sa bouche ne lâchait celle de Lulu que pour s’activer sur un sein ou sur l’autre. En ouvrant les yeux, elle aperçut la grimace de son baiseur en plein effort. Il allait et venait, distendait les parois de son vagin, allait cogner brutalement tout au fond contre le bec de l’utérus, puis ressortait entièrement et se lançait contre la vulve, déchirait le conduit, frottait son gland en forme de gros œuf à l’intérieur des lèvres meurtries. Lulu avait un terrible mal de tête, se laissait envahir sans protester. À force de persévérance, Ben avait mis le feu à ses sens. Il guettait ses réactions. Aux premiers gémissements de plaisir de la femme, il multiplia les sorties complètes, suivies de pénétrations puissantes, violentes, il força l’allure, posa une grosse main sur son cou comme pour l’étrangler et imposa une cadence infernale. Sa faible plainte inarticulée passait pour un encouragement. Lulu crut qu’il lui perçait le ventre et fut heureuse de voir arriver la fin de cet assaut. Les jets de liquide chaud, après la terrible épreuve lui parurent un bienfait avant de réaliser que la brute la remplissait de sperme. Enfin l’homme se retira avec un flop de bouchon de champagne. Épuisée elle s’endormit. Le gros bras à braquemart de cheval avait disparu à son réveil. Elle eut la présence d’esprit d’aller se laver, de remettre le lit en ordre et se rendormit. Elle aurait voulu m’en parler, ...
    ... mais la honte et la crainte de ma colère lui fermèrent la bouche. - Le lendemain, Richard vint au salon, fit des compliments à ma patronne, loua mes aptitudes et annonça que je pouvais envisager une brillante carrière chez lui. Mais les filles m’attendraient, car j’étais, de plus, une excellente coiffeuse. Je serais doublement utile et donc doublement rémunérée. En aparté, il me montra, trop rapidement, une photo d’un couple nu, accouplé, noué par des membres en tentacules. M’avaient-ils photographiée pendant que l’un ou l’autre abusait de moi. Je crus reconnaître le papier peint de notre chambre. 2tais-je la femme de la photo ? Il fallait que je le susse. La nuit suivante, je dus sucer. Entre deux coups de peigne, Ben m’entraîna dans un studio vide. Je ne devais pas me fâcher. La nature m’avait comblée. Excellente coiffeuse, future grande artiste, j’étais de surcroît une amoureuse exceptionnelle. J’avais su le charmer et en descendant de voiture, je l’avais invité à boire un dernier verre à la maison, puis je m’étais offerte à lui avec une passion si forte qu’il n’avait pas osé résister à mes sollicitations amoureuses. Et c’est ainsi que nous avions fait l’amour, parce que je l’avais exigé. Jamais, foi de Ben, il n’avait connu une femme aussi gourmande, aussi avide de sensations fortes et aussi folle de son corps. Jamais, aucune femme ne lui avait taillé une pipe pareille. Je n’en avais aucun souvenir, mais je devais le croire. Si j’avais oublié nous devrions recommencer. Une ...