1. LULU 4


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... à user de ma bouche comme d’un sexe, en tout petits mouvements, pareils à des vibrations. Ma salive débordait, il glissait de plus en plus facilement, progressait, changeait l’angle d’attaque, heurtait l’intérieur d’une joue, écrasait mes mains sur mes lèvres à la limite de la rupture, cognait l’autre joue à plusieurs reprises. Ma main coincée entre son ventre et ma bouche ressentait les coups qui déformaient ma joue. Si j’avais le malheur de le mordre, il avait promis de m’assommer. Des deux mains, soudain, il tira sur l’arrière de ma tête, et il s’engouffra d’un trait au fin fond de mon gosier pour déverser sur mon pharynx une tonne de liquide chaud. Je battais des mains, essayais d’échapper à l’étouffement, j’avalais de travers, mais avalais la liqueur gluante. Lui, le ventre propulsé jusqu’aux couilles contre ma bouche, se maintenait en place et par secousses lentes, me remplissait de son foutre. J‘en avais plein la bouche et il m‘en sortait aux commissures des lèvres, peut-être aussi par les narines. Ma vue se troublait, je me débattais désespérément. Je tentais de repousser son bassin tendu vers moi, en vain. Soulagé, il fit marche arrière et se mit à rire en m’entendant cracher et respirer bruyamment pour récupérer mon souffle. Il constata avec humour que je l’avais aussi bien reçu aujourd’hui que la veille. Je lui fis remarquer que tu allais bientôt revenir du travail. À regret, il me quitta, mais je ne perdais rien pour attendre. À ton retour, je dormais. Au réveil, ...
    ... nous avons fait l’amour. Tu n’as pas relevé que j’évitais de te prendre en bouche parce que j’avais encore mal aux muscles du visage. Je compensai avec les mains. Tu me pris avec ta délicatesse habituelle. Je gémissais plus fort à cause de l’irritation de mes muqueuses, mais tu dus penser mieux me baiser et tu te montras satisfait de me faire jouir aussi vite. Ce qui me valut une double ration. Évidemment, te révéler mes douleurs et leur cause véritable, me semblait alors impensable. J’étais honteuse et malheureuse de t’avoir trompé, mais je craignais trop de te perdre si je dévoilais mes activités récentes. Au départ je n’avais pas eu l’intention de te faire des cornes. Ensuite, je pataugeais dans un marécage, je sentais que je m’enfonçais. Je ne pouvais pas t’appeler au secours. C’était comme dans un cauchemar. Richard se réjouissait de me voir sombrer et Ben en profitait de plus en plus. Sur ta tournée de l’après midi, il venait me chercher à domicile. Avant ton départ il stationnait déjà à proximité. Tu ne t’es jamais étonné de la présence de la grosse limousine sous nos fenêtres. Je sautais dans la voiture, débarquais en vitesse dans les loges, parais au plus pressé. Ben passait par là, me tripotait, tantôt m’embrassait, tantôt me mettait une main au panier, me glissait un index dans le minou puis suçait son doigt en riant et retournait garder la porte ou maintenir l’ordre dans la salle. À la fin du spectacle, s’il en avait envie, il me poussait dans la loge vide. À sa ...