Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)
Datte: 01/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... j'ignorais, c'était qu'il avait laissé la porte ouverte et quelle ne fut pas ma surprise en apercevant l'arabe, droit devant moi, la queue bien en vue, bien droite, prête à être sucée. J'ouvris donc la bouche et il s'y enfonça avec plaisir. Nul doute qu'il nous avait suivi le petit pervers, sachant bien en voyant le mec me suivre que je me ferais baiser bien à fond et je dois avouer que le mec me fourrait avec entrain, poursuivant ces injures. Dans cette position, il avait bien raison de me traiter de tous ces noms et je l'assumais car, de toute façon, en cette soirée, nous étions tous des chiennes, des salopes, des putes mais marquées par le sceau de la noblesse. Un duc suçant un marquis qui regardait un prince m'enculer, voilà une belle histoire qu'Élisabeth-Charlotte de Bavière, dite la Palatine, aurait pu écrire dans ses nombreuses lettres au temps de Louis XIV. Bien entendu, à force de me labourer, le mec joui en moi, se retirant aussitôt pour quitter la pièce, me laissant seul avec l'arabe qui s'empressa de se placer derrière moi, dirigeant sa queue entre mes fesses. C'était à son tour de m'embrocher et pas question qu'il fasse autrement. - Tu aimes qu'on t'insulte? - J'aime surtout qu'on m'enfonce sa queue dans le cul, lui répondis-je. Peu importe la façon, du moment que nous ayons du plaisir. Il ne se fit pas prier et m'enfiler sa bite, opérant immédiatement avec des mouvements de va-et-vient assez profond et à toute vitesse. Ce mec savait fourrer, je vous le jure. Je ...
... ne parvenais plus à retenir ma respiration de plus en plus haletante et la sueur commençait à couler sur ma peau. Et tout à coup, il cessa et reprit mais cette fois-ci plus lentement, très lentement, avec douceur et mon plaisir était tout autant voluptueux de sentir sa queue glisser en moi, caressant mes parois internes. Mon plaisir devenait quasi-insupportable tant ma queue voulait gicler et ma respiration accentuée, entremêlée de cris, excitait toujours plus ce mec qui s'amusait à me voir prendre mon pied. Sans doute y trouvait-il un grand contentement de me procurer cette jouissance et je suis certain qu'il se gonflait le torse de constater que mon cul préférait sa queue à celle du mec précédent. Et il arrêta, rattachant son pantalon. Je me retournai, le regard interrogateur. - C'est tout pour l'instant, Sait-on jamais, peut-être poursuivrons-nous plus tard, dit-il avant de quitter, me laissant là, le cul en chaleur comme jamais il n'avait été. C'était inhumain de me faire cela mais il savait bien ce qu'il faisait le salopard, n'ignorant nullement que je voudrais sentir à nouveau sa queue en moi. Je remontai mon pantalon, m'essuyai le visage de toute cette sueur et rebroussai chemin jusqu'au salon pour y rejoindre mes amis, attendant que les douze coups de minuit retentissent pour se souhaiter une merveilleuse année 2018. Le premier janvier était bel et bien amorcé lorsque je m'éveillai le matin venu. Il était dix heures et j'avais dormi comme un bébé, dans la chaleur des ...