Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)
Datte: 01/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... masturbions, me foutant que le jeune blondinet nous observe. C'était assez excitant et je ne pus me retenir bien longtemps, giclant mon foutre entre les doigts de l'arabe qui se laissa aller à son tour. Nous utilisâmes la nappe pour nous essuyer et remis nos bites dans nos pantalons avant d'entreprendre le faisan. Le reste du souper fut agréable, discutant de choses et d'autres avec monsieur le marquis. A 22 heures, le souper étant terminé, nos hôtes nous invitèrent à repasser au salon pour le digestif. Je retrouvai mes amis, leur présentant le marquis qui semblait ne plus vouloir me quitter. Je le soupçonnais de vouloir m'accompagner où que j'aille mais il n'était pas question que je me contente de sa présence alors que tant de mecs me lorgnaient sur leur passage. J'allais profiter au maximum de cette ruche où grouillaient tant de superbes corps remplis de testostérone. Sans doute allais-je me faire baiser par lui, surtout connaissant la grosseur de sa bite cependant il n'était pas question qu'il soit le seul à me labourer, oh que non. Déjà, le mec près de moi me plaisait assez et j'aimais bien qu'il se tienne tout près, si près que je ne pouvais ignorer ses intentions. Quarantaine avancée, bien baraqué, je sentais son bras le long de ma cuisse. La pression qu'il exerçait démontrait bien que c'était intentionnel et moi, je le laissais faire. Je lui souris, le saluant d'un signe de tête qu'il capta comme une invitation à glisser sa main le long de ma cuisse, remontant ...
... lentement jusqu'à mes fesses, les pressant fortement, juste assez pour que je comprenne qu'il espérait pouvoir en faire profiter sa verge. - Vous allez m'excuser mais un besoin pressant m'oblige à vous quitter pour quelques minutes, avisai-je mes compagnons avant de prendre le pas vers l'une des nombreuses salles de bain du manoir, bien heureux que le mec aie compris que lui aussi avait un besoin qu'il devait assouvir. Je me rendis donc à la salle de bain, laissant la porte entrouverte et m'empressai de baisser mon pantalon. Lorsque le mec entra, j'étais déjà dans une position qui démontrait parfaitement que j'attendais avec impatience qu'il m'enfonce sa queue dans le cul. Je m'étais appuyé contre la toilette, ayant posé un genou sur la cuvette de sorte à lui offrir un cul bien ouvert. Je croyais qu'il allait s'empresser de me fourrer mais il préféra y glisser sa langue avant de me manger avec ferveur, me claquant les fesses avec ardeur. Ça me changeait des deux précédents mais j'espérais tout de même qu'il ait le goût de me labourer. Sa langue rugueuse me léchait l'arrière-train, opérant une pression sur ma rosette et il se décida à m'enfoncer sa queue bien dure que je reçus en laissant entendre un cri de plaisir. Il y allait avec joie, sortant sa bite et l'entrant à nouveau de grands coups en me traitant de chienne, de salope, de pute et j'aimais ça. Je ne possédais plus aucun contrôle, laissant ce mec s'occuper entièrement de moi et il y parvenait parfaitement. Ce dont ...