1. Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... marquis, répliquai-je en le regardant. Vous avez une telle prestance avec ces larges épaules, dis-je, me trouvant immédiatement insignifiant de ce phrasé. Toutes mes excuses, c'est banal comme affirmation. - Pas du tout. Je le prends comme un compliment et moi, je dois avouer que je me plais à regarder vos cuisses musclées. Voilà, moi aussi j'ai dit une banalité. Maintenant, plus de gêne pour des paroles qui sont douces à entendre, me dit-il de son large sourire, laissant entrevoir une dentition parfaite. J'avoue aussi que je vous ai remarqué dès votre entrée au salon et que je suis pleinement satisfait d'avoir été placé à vos côtés. Je ne savais plus quoi dire et je gardai alors le silence quelques secondes, tentant de trouver quelque chose d'intelligent à lui dire mais je ne trouvai rien. Vous semblez mal à l'aise de mes paroles et pourtant, selon ce qu'on m'a dit, vous n'êtes pas du genre à vous laisser impressionner. - Ce qu'on vous a dit? Je ne comprends pas pourquoi on vous aurait parlé de moi. - Tout simplement parce que je m'en suis informé. Ne sommes-nous pas ici pour rencontrer des gens intéressants? - J'imagine, répondis-je, me questionnant sur qui avait pu lui fournir ces informations et surtout, ce dont on lui avait mentionné sur ma personne. J'espère qu'on m'a dépeint avec goût. - Tout à fait, n'en craignez rien. Que des éloges sur monsieur le duc. Juste assez pour piquer ma curiosité. - J'espère que votre curiosité ne vous déçoit pas car des fois, certains ...
    ... peuvent avancer des choses qui ne sont pas tout à fait véridiques. - Et vous pensez à quoi? - A rien de particulier seulement, vous pourriez m'éclairez sur ces dires qui me concernent. - Proprio d'une agence en milieu hospitalier qui, dit-on, fonctionne à plein régime. Proprio de cette magnifique Mercedes que j'ai pu admirer à mon arrivée mais ce ne sont pas ces propos qui ont attiré mon attention. Vous seriez, selon certains un mec adorable, gentil, sensible et ce, même si vous n'osez le démontrer aux premiers abords. Sans oublier que vous êtes un homme de plus charmeurs. - Ça ressemble aux paroles de mon ami Serge. - On ne peut rien vous cacher et de mon côté, je ne vous cacherai pas que présentement, ma queue m'implore de quitter ce pantalon tant mes pensées sont osées en vous regardant. - Alors, donnez-lui satisfaction, lui dis-je, tout bonnement, ne croyant pas qu'il le ferait mais oui, il s'exécuta et moi, s'empressant d'approcher ma main pour la toucher, la caresser, la masturber tandis qu'un valet déposait un plat devant moi. - Monsieur le duc est empressé, me chuchota-t-il à l'oreille. J'en ferais de même avec vous et plus si vous me donniez la permission de vous rejoindre dans votre chambre une fois mon service terminé. Je le regardai avec un sourire lui indiquant qu'il pourrait me rejoindre si le cœur lui en disait pendant que mon voisin caressait ma cuisse de sa grosse main. A mon tour, je lui présentai ma queue qu'il s'empressa de manier avec force. Nous nous ...
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