1. Clichés du fétichiste


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour,

    ... je pouvaistrouver son sentiment insultant. Elle me châtrait d'une certainemanière. Etais-je donc un eunuque dont elle n'avait rien à craindre ?Elle me renvoyait à ma nullité et à mon insignifiance. Elle perçut à cemoment ma tristesse. Elle me prit par la main.Je pris ce geste au premier degré et sans équivoque. J'ai l'impressionque nous ne fumes jamais si proches car dans l'empathie. Au retour jedécouvris ma parole plus libre. L'éloquence me venait naturellement. Peuavant d'arriver au bureau je lui balançais tout de go le désir qu'ellem'avait sans cesse inspiré. Elle me répondit dans le plus grand sangfroid qu'elle était femme et avait deviné tout cela. Tant d'hommes laconvoitaient et ce n'était immodestie de sa part. Être objet sexuel lalassait des fois. Je me gardais de lui rapporter ses façons provocantesà mon égard. Elle les eût nié.Il y eût en l'espace de deux mois trois, quatre autres déjeuner du mêmeacabit. Enfin elle me révéla qu'elle avait besoin de mon soutien pourobtenir un poste. Elle me savait grand ami du patron. Mes avis étaientprécieux et suivis. Je pouvais faire infléchir la balance de son côté.Je fus interloqué mais sus en l'instant le lui cacher. En une secondes'éclairait tout le sens de ses démarches. Tout avait été concerté,prémédité. Je me rappelais que j'en avais eu le soupçon. Depuis ellem’avait endormi. A présent j'étais réveillé à la cruelle vérité. Jen'étais qu'une dupe de plus.J'affectais de bien prendre sa demande. Je lui répondis que je ...
    ... seraishonoré de pouvoir la servir en cette circonstance. Je rentrais cettefois furieux chez moi. Je dus raconter à ma femme qu'un chef m'avaitpassé un savon. Je ruminais sottement une vengeance. Je voyais cependantque j'avais tout à perdre de m'opposer à cette femme. Je devais entrerdans son jeu et y trouver moi-même mon intérêt. Je méditais quelquespréceptes taoïstes. Le non-agir et la souplesse sont les plus surschemins de la victoire. Je compris qu'il me fallait au moins obtenirquelque chose d'elle.Au déjeuner suivant je lui annonçais que j’avais parlé favorablementd'elle. J'inventais sur le champ un mensonge. « Savez-vous que monpatron pense que nous avons couché et que je veux favoriser unemaîtresse ? » Elle sursauta. Elle ne s'attendait à un pareil échangeentre le patron et moi. Je rajoutais. « Vous savez ce que sont leshommes. Ils ramènent tout à des affaires de coucherie. » Je la rassurais: « Je ne me suis pas étalé sur le sujet. Laissons-le à cette illusion.Ce qui importe est qu'il dise oui. » N'empêche j’espérais qu'elle secrut redevable. Je lui tendais une perche.Ceci fit son effet. Son propos au départ fut sibyllin. Elle dit : »Voussavez ma fidélité à mon mari. Cependant j'aimerais d'une certaine façonvous remercier. » Disant cela elle était émue et regardait droit devantsur la route. Elle poursuivit : « Nous pourrions en rester à quelquechose d'anodin et ce serait notre secret. » Elle n 'en voulut me diredavantage. Elle me poussait à obtenir ce qu’elle voulait. Entre ...
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