1. Clichés du fétichiste


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour,

    Nos relations étaient jusqu'alors compliquées. Il était manifeste que jela désirais et qu'elle le savait. Rien que d'ordinaire dans un contextede bureau. Il est concevable que se noue ce genre d'intrigue entre descollègues. Dans le contexte actuel il était inopportun que je fussurpris dans une drague lourde. Aussi pris-je un peu de distance avecelle me contentant que de regards et de sourires de loin. Je renonçais àl'idée d'amener dans mon lit cette femme remarquable. Elle m'avaitmarqué souvent qu'elle était fidèle à son mari et que je ne devaisporter crédit à de folles rumeurs sur elle.Ces rumeurs étaient pour partie infondées. Ne dit-on pas qu'on ne prêtequ'aux riches ? Une jolie femme suscite envies et jalousies. La calomniejonche d'épines son chemin. La question demeurait de savoir si en cefatras de fables, ne survivait pas une once de vrai et que notamment descollègues heureux avaient pu obtenir quelquefois ses faveurs. Cesentiment fondait sûrement une part de mon amertume. Cela ponctuaitd'irritation beaucoup de mon humeur à son égard. Elle le percevait et enjouait. Agitant devant moi ce chiffon rouge. J'étais malheureux qu’ellefut coquette à un point.Elle était nantie de jambes remarquables. Elle ne dédaignait pas de lesmettre le plus souvent en valeur portant des jupes relativement courtespour le plus grand bonheur de mateurs comme moi. Je ne pouvais concevoirqu'une femme de cet acabit ne sus quels trouble et bouleversement ellesuscitait autour d'elle et dans le ...
    ... regard des hommes. J'avais lafaiblesse de croire que loin de l'offusquer ces silencieux hommages aucontraire la touchaient et la flattaient. A bon droit elle pouvait setarguer ensuite d'être fidèle se contentant du jeu supposé innocentd'allumer.Un jour devant la machine à café sur un mode ironique je fis passer lemessage que je trouvais facile et lâche qu'une femme se contentad'allumer sans passer jamais le Rubicond. Je trouvais par trop sadiqued'exciter un homme sans vouloir le contenter. Elle prit fort justementl'allusion pour elle et ne m'en provoqua que plus. Elle affichait par làson mépris pour mes velléités de révolte. Je devais me contenter d'unrang minable de soupirant et de voyeur. Je n'obtiendrais pas davantagedevant être trop heureux qu'elle condescendit à m'associer quelquefois àses jeux.Je me le tins pour dit. Aux rares réunions de service, je ne m'enpositionnais pas moins en face d'elle. Je faisais mille efforts pourconserver ma contenance face à ses cuisses croisées et pour lesquelleson décelait la chair blanche et unique dessinée au-dessus du bas. Lesautres mâles n'étaient pas en reste qui savouraient aussi le spectacle.Ses narines frémissantes attestaient que peut-être se réjouissait-elleque les queues de ces messieurs se durcissâssent pour elle. Cetingrédient conférant le seul charme et à intérêt à des réunions insipides.Elle en faisait autant quand elle venait en mon bureau. Elle n'y venaitpas papoter mais pour bosser. Je n'avais pas le privilège de la fairerire ...
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