Un petit nid de plaisirs
Datte: 20/08/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... rassurer. Je continue néanmoins ma petite histoire, pour expliquer comment je m’étais retrouvé nu dans le salon. — Je t’avais dit que j’avais un rendez-vous ce soir ?— Oui, tu me l’avais dit.— Pis tu sais aussi que ça fait très longtemps que j’ai pas eu de relations avec une femme.— Je savais pas, mais je m’en doutais, disons.— Bon… ben, pour calmer un peu la tension avant d’y aller, j’ai décidé d’appeler une ligne érotique…— Tu te masturbes en écoutant des putes au téléphone ?! m’interrompt-elle— Oui.— Gaspille pas ton argent là-dedans… À l’avenir, dis-le-moi quand tu es en manque ou que as besoin de te "calmer", comme tu dis. Je m’apprête à rétorquer que je n’utilise pas souvent de tels services… que, même si je n’ai pas un physique repoussant et que je ne suis pas un cancre non plus, j’ai de la difficulté à sortir avec des filles… que je veux pas gâcher ma chance avec Julie en bandant comme un con dès qu’elle se frotterait un peu contre moi… Mais finalement, après un court moment de réflexion, je décide de ravaler mon petit discours et me contente de demander à Marie-Catherine de répéter ce qu’elle vient de dire. — T’as pas compris, dit-elle en ricanant, ou tu veux juste le réentendre parce que t’as aimé ?— Deuxième option.— J’ai dit : «Gaspille pas ton argent là-dedans. À l’avenir, dis-le-moi quand tu es en manque ou que as besoin de te "calmer", comme tu dis».— Tu sais… je te dirais bien que je suis justement dans une de ces situations-là en ce moment ! Elle éclate de ...
... rire à nouveau, et me répond que là il est plutôt temps de prendre ma douche et de me dépêcher d’aller chercher ma dulcinée si j’espère toujours avoir des chances avec elle… Je me doutais bien que c’était des paroles en l’air ! J’ôte la serviette et je saute dans la douche. J’entends la porte se refermer quelques instants plus tard. Je me lave en vitesse, me rase, m’asperge d’un peu de parfum, une relique de ma dernière relation. Je sors - sans avoir oublié de mettre une serviette - m’habille en vitesse et quitte l’appart en criant : — Bye, Marie-Cath ! * * * * * * * * Marcher. Que c’est difficile quand on est ivre. C’est comme si on réapprenait chaque mouvement. Un pied à la fois, l’un devant l’autre, jamais les deux en même temps, jamais deux fois le même de suite. Faut faire attention à tout ça pour ne pas tomber. Heureusement mon périple s’achève bientôt. Je réussis à gravir péniblement les trois marches me séparant de la porte de ma demeure, en m’agrippant fermement à la main courante. J’arrive à la porte. Mes clés, ou sont mes clés? Je ne sais pas. Pas grave, je vais cogner et Marie-Catherine va m’ouvrir. Je cogne doucement (lire : tambourine comme un déchaîné) et commence à implorer calmement ma chère amie de bien vouloir venir m’ouvrir (lire : crie à tue-tête). Je l’entends arriver. Elle tourne la poignée et me laisse entrer, ce que je fais à quatre pattes. Elle m’aide à me relever puis à me coucher sur le divan. Elle va à la cuisine et revient avec un verre d’eau ...