Un petit nid de plaisirs
Datte: 20/08/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... qu’elle me tend quasi maternellement, avec un regard rempli de tendresse. Elle me retire mes chaussures et s’assied sur une chaise près de moi. — Ça a pas été ta soirée, Will ? Je m’attendais pas à te voir revenir comme ça ce soir.— Bah, tu sais, je m’attendais pas à revenir comme ça non plus.— Et puis, avec Julie?— M’en parle pas, s’il te plaît.— Voyons, qu’est-ce qui est arrivé? me demande-t-elle d’un ton inquiet. Je commence à lui raconter ma soirée, comment je suis arrivé chez Julie et que son père a reconnu en moi, même dix ans après, le petit chenapan qui avait brisé la belle baie vitrée de son chalet en jouant au baseball. Je lui parle de la scène digne des meilleurs feuilletons indiens grossièrement doublés, que m’a faite mon ex petite amie, déjà saoule même si la soirée ne faisait que commencer… Et, le bouquet, du retour de son amour d’enfance ayant quitté ses belles plages de Californie où il dépensait en alcool et prostituées sa bourse d’études de football. Elle avait fini la soirée avec lui, et moi avec mes amis d’un soir, les alcoolos désespérés qui frôlent l’état de légume. J’ai laissé l’auto au garage, de toute façon même si j’avais voulu conduire… les clés étaient à l’intérieur et les portières verrouillées. Marie-Catherine a écouté toute ma petite histoire, en caressant mes cheveux de temps à autre dans les moments les plus difficiles. Elle m’aide à me relever puis à me rendre à ma chambre. Je me déshabille, prenant bien soin de garder mes sous-vêtements ...
... ce coup-ci. Je me glisse dans les couvertures, et elle m’embrasse gentiment sur le front. Je lui demande un câlin. Elle se penche et me tend les bras. Je la serre fort, un peu trop même, et elle tombe sur moi. Elle rit un peu en me disant que je pue l’alcool. — Je sais… mais tu voudrais pas rester avec moi pour cette nuit ?— Je veux bien, me répond-elle d’une voix à peine audible, mais seulement si tu vas te laver les dents avant, enchaîne-t-elle en ricanant. J’acquiesce à sa demande et me lève, direction salle de bains. Je décide même de prendre une douche complète pour enlever l’odeur répugnante de cigarette qui colle toujours à ma peau. Je finis ma toilette, enfile mes culottes de pyjama et retourne à ma chambre. La vision que j’ai en y entrant est carrément angélique. La belle Marie-Catherine, petite et fragile, est toujours là. Ses cheveux voilent en partie son visage. Sa respiration est lente, régulière, caractéristique du sommeil du juste. Sa poitrine menue se soulève à chaque souffle. Sa simple nuisette peine à la protéger du froid, et elle est recroquevillée pour tenter de garder un peu de chaleur. Je me glisse à ses côtés après l’avoir légèrement déplacée pour qu’elle puisse profiter des couvertures. Je passe un bras par-dessus elle, replace sa bretelle qui était tombée sur son bras et m’endors à mon tour. Je n’étais plus là quand elle s’est réveillée. Je m’étais levé tôt et, malgré un léger mal de tête, j’étais allé faire ma course du matin. J’ai bu e,tièrement la ...