Souvenirs d'une autre vie (6)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... la cuisse que sa position me dévoile. C’est fou comme je bande. Alors geste inconscient, ma fermeture éclair glisse vers le bas, sous l’effet de mes phalanges qui la font coulisser. Mon sexe sort comme un diable de sa boite et il est dans ma main. Je ferme un instant les yeux et quand j’ouvre ceux-ci à nouveau, ceux de ma mère sont rivés sur moi. Je rougis de honte alors que sans quitter son appareil elle vient de se lever. Elle avance vers moi, me passe la main dans les cheveux. Son doigt se met en travers de sa bouche pour me dire de me taire. Elle se baisse et sa main libre saisit mon chibre. C’est elle maintenant qui me branle, lentement, doucement, savoureusement. Elle continue de soupirer et puis elle parle à son interlocuteur. — À ce soir mon chéri ! J’ai envie de toi, de te faire l’amour… Oui ! Si tu savais comme tu me fais mouiller ! J’ai l’impression que je tiens ta queue entre les doigts, que je te branle. Non ! Ne dis rien ! Laisse-moi seulement faire… c’est ça, tu sens bien ma main ? Oui… tu viens, tu me rejoins ce soir et nous ferons l’amour… à tout à l’heure alors ! Elle raccroche, mais ne quitte pas mon sexe. Elle continue ses lents mouvements du poignet et me prend la main pour la guider vers ce centre humidifié au possible. Je suis toujours tétanisé et sans doute rouge comme une pivoine. Elle se met à genoux devant moi et sa bouche commence un périple qui va de mon gland à mes couilles tout en persistant à me masturber. Je me raidis, me dis que je dois ...
... interrompre cette séance inutile, mais je n’ai plus aucun courage. Je subis ces caresses plaisantes sans rien faire pour les stopper. Elle avance sa bouche et j’adore cette pipe… maternelle. C’est moi qui la pousse contre la table de la cuisine et qui en y appuyant sur son dos l’oblige presque à se courber sur le tablier de bois. Mon mandrin est là dans sa main alors que ses fesses me font désormais face. J’avance d’un petit pas et elle le lâche. Ma bite est contre son cul. Elle écarte seulement un peu les jambes en fléchissant sur ses genoux. Son poignet passe sous le pont formé par ses deux cuisses ouvertes. Elle saisit mon vit et elle l’attire vers la source qui semble encore couler. Je ne résiste même pas. Instantanément, elle tortille du derrière et je suis en elle. Quelle sensation de chaleur, c’est brulant, trempé mais bouillant ! Alors comme si tout était normal, je pousse mon bassin en avant et je viens buter contre le fond de la grotte. Après cela, tout s’accélère. Elle râle, moi aussi ! Elle crie, moi je soupire. Je la baise frénétiquement et ce n’est plus ma mère à ce moment-là ! C’est une chienne, une salope que je cramponne par les hanches, une pute à laquelle je tire les cheveux, je me perds dans des positions improbables, je me fais plaisir et elle hurle qu’elle aime ça. Je rue dans ses reins, lui donnant quelques petites tapes sur les fesses, alors qu’elle hoche la tête, tout en psalmodiant des mots que je ne veux pas comprendre. Notre équipée sauvage dure un ...