Souvenirs d'une autre vie (6)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... long, très long moment et quand je sens mon sperme monter au bout de ma lance, je me recule vivement. Une longue trainée blanche atteint le sillon et l’œillet qui y niche. Comme je ne débande pas encore, une idée folle germe dans ma caboche. Je pousse à nouveau vers l’avant cette trique qui reste solide. Je sens sur le bout de mon nœud le petit trou sombre qui se crispe. Je tire les cheveux à nouveau de cette brune qu’est ma mère et je me plante dans son trou du cul avec une sorte de rictus de plaisir. Elle reste un moment sans rien dire puis ses hanches chaloupent à nouveau, se dandinent et elle permet ainsi que ma bite entre jusqu’aux couilles dans cet étroit passage. Je suis rivé à la croupe qui ondule doucement et elle crie. gxkgbbzd Plaisir ou douleur, je n’en ai cure. L’important c’est que moi, égoïstement je prenne mon pied. Mais elle semble apprécier cette sodomie qui n’en finit plus. Je constate que si j’éjacule assez rapidement la première fois, la seconde tarde à venir et je ressens toutes les douceurs de ce cul serré. Mon Dieu comme c’est bon. J’en ai les jambes qui flageolent, je me crispe sur les endroits de chair que je peux attraper. Et elle ronronne comme une chatte, elle me laisse la baiser comme si j’étais son amant attitré. Quand enfin, au bout de longues minutes je sens que ma queue va recracher son lait, je ne cherche pas à sortir de l’antre où je suis si bien. Je lui donne une violente claque sur le croupion et je ne sais plus ce qui m’arrive. Voilà, ...
... je suis presque penaud, derrière ma mère avec une petite bite toute ramollo qui sort lentement d’entre ses fesses. Quand elle est dehors, je recule un peu et mes yeux se portent sur le sol de la cuisine ou nous nous trouvons. Celui-ci est maculé d’une tache d’eau conséquente. Dans cette flaque quelques gouttes de mon sperme viennent de temps à autre éclater sur la nappe mouillée. Merde alors ! Elle dégouline de mouille et le long de ses cuisses, de larges trainées de jute, bien à moi, celles-ci forment des sillons d’un blanc laiteux. Maman se retourne lentement, me passe la main dans les cheveux et me regarde droit dans les yeux. — Anne-Marie a bien de la chance ! Tu es un amant fabuleux ! Oui, elle a bien de la chance. La messe est dite. Elle retourne vers la salle de bains. Je nettoie mon sexe avec des kleenex alors que l’eau coule de nouveau. Quand elle revient, c’est à mon tour d’aller me laver. Nous ne nous parlons plus de la soirée sauf pour se dire des banalités. Mais je ne suis pas surpris alors que je suis dans ma chambre, que mon véhicule est au garage, d’entendre une voix que je reconnais immédiatement. Je sais que c’est ce Sylvain, celui qui est déjà venu avec Pauline, qui est là. Ils se parlent sans faire de cas de ma présence. Mais je ne suis pas certain que ma mère lui ait dit que j’étais là. Ils sont au salon, et ma chambre est juste au-dessus. Les murmures plus ou moins étouffés montent vers moi et je les interprète comme je le désire. Les bruits ! Je les hais ...