1. Souvenirs d'une autre vie (6)


    Datte: 03/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de suite ! Je sais ! Je sens que cet homme va la baiser lui aussi et je me comporte comme un mari jaloux. C’est idiot, je suis tétanisé dans ma piaule, je n’ose plus bouger. Tous les sons sont amplifiés par mon esprit fiévreux. Je me dois de faire un effort pour ne pas courir lui casser la gueule ! Mais de quel droit devrais-je faire cela ? C’est elle qui lui a demandé de venir, je l’ai bien compris ! Elle a envie de ce type, de sa bite et j’enrage ! Merde, je deviens fou ? Et n’est-ce pas moi, qui il y a quelques mois, l’encourageais à chercher un amant ou un mari ? Alors de quoi devrais-je me plaindre ? J’imagine tout, je ne veux rien savoir d’autre que ces murmures… ils doivent baiser et en quoi ça me regarde ? Pourquoi ne suis-je pas parti ? J’aurais pu aisément rejoindre Anne-Marie, la rejoindre et lui faire l’amour. Au lieu de cela j’ai pris mon pied avec cette femme qui va se donner à ce type. Je deviens très nerveux. Ce Sylvain ! D’où sort-il d’abord, qu’est-ce qu’il lui fait ? Et je fais ce que je ne devrais pas oser. Lentement je dégringole les escaliers et viens me poster dans la cuisine, mais cette fois de manière à voir sans être vu. Le soir est tombé et la lumière est moins intense. Maman a laissé la porte juste un peu entrouverte. Suffisamment cependant pour que je les aperçoive tous les deux. Et ce salaud est en train de lui rouler un patin. Il la tripote sans vergogne, me rendant dingue et hargneux. Je fais un effort surhumain pour contenir cette haine ...
    ... qui déboule dans mon crâne. Je ne perds pas une miette de ce spectacle, et pourtant je voudrais ne jamais être rentré. Je sais ce que ce gaillard va avoir, je sais ce qu’elle va lui donner. Les jeux de mains, de langues durent une éternité, mais c’est surement toujours plus long lorsque l’on est spectateur. Petit à petit ils sont de plus en plus dénudés. Les seins sont magnifiques et cette façon de tourner autour, d’appuyer dessus pour revenir en plus tendre sur leurs pointes… il sait bougrement y faire ce… « Du con la joie ». Elle ne rechigne pas à le caresser, et dire que quelques heures plus tôt, c’était à moi tout cela ! Je reluque ces pattes qui vont et viennent, qui se frottent à tous ces endroits merveilleux que j’ai pu aussi explorer précédemment. Ils vont baiser, c’est sûr, et ça va me faire mal ! Pourvu que je sache garder mon calme. Ça y est ! Elle le suce comme elle l’a fait pour moi tout à l’heure. Je vois cette tige qu’elle prend plaisir à léchouiller. Elle lui remonte les burnes et j’assiste à cela sans rien faire ! Le gland c’est bien moi. Il est maintenant entre ses cuisses à fourrager de sa bouche. Absorbés par leur tâche, ils ne m’entendent pas, ils ne savent pas que je suis là à les regarder ! J’en prends plein les yeux et ça continue. C’est elle qui enjambe ce type alors qu’il est simplement assis sur le fauteuil. Je la vois qui se laisse descendre su la queue tendue et celle-ci disparaît entre les jambes de maman. Il l’a fait monter doucement et elle ...