1. Agnès et le garagiste


    Datte: 04/04/2019, Catégories: fh, intermast, Oral préservati, pénétratio,

    ... cinquantaine d’année, il possède une stature imposante et musclée et un ventre légèrement proéminent. Ses cheveux gris et clairsemés sont coiffés en arrière. Son visage long, aux traits rudes est animé par deux yeux d’un vert perçant et sa moustache fournie dégagent une certaine virilité. Mr Louis est en général vêtu d’un jean et d’un pull aux manches retroussés sur des avant-bras poilus et puissants se terminant par des mains larges aux doigts épais et marquées par le travail manuel. Mr Louis ne manque jamais d’accueillir lui-même Agnès lorsqu’elle se rend au garage. Elle a droit au sourire carnassier mais non dénué de charme du garagiste. Elle s’est également rendue compte à plusieurs reprises des regards rapides et appuyés qu’il adresse aux différentes parties de son corps comme pour en effectuer l’inventaire. Chose qu’il ne se permettait de faire lorsqu’elle lui arrivait d’accompagner son mari. Son instinct de femme se réveille à chaque reprise et elle éprouve un sentiment fait d’un mélange de colère, de honte mais également de satisfaction. Ce n’est pas le genre d’homme que son mari et elle-même avaient l’habitude de fréquenter mais elle est consciente de l’effet que le charme viril du garagiste exerce sur elle. Elle stoppe le moteur à l’entrée de l’établissement fait d’un atelier principale et d’une réception servant également de bureau. Quelques véhicules sont sur des chandelles, d’autres plus ou moins démontés. Les employés s’affairent autour des voitures et ...
    ... s’apostrophent en utilisant parfois des termes qui choquent toujours un peu Agnès. Les voix résonnent. Agnès pousse la porte du bureau au moment même où monsieur Louis s’avance vers elle pour la saluer. Comme à chaque fois, Agnès éprouve un léger malaise en présence de cet homme. Elle sait qu’il ne lui déplaît pas mais sa suffisance l’agace. — Bonjour madame, comment allez-vous ? L’homme la fixe de son regard profond et lui sourit. Sa voix est grave et légèrement cassée. — Très bien, je vous remercie, répond-elle, incapable de dévier ses yeux du vert puissant de ceux de son interlocuteur. L’assurance de cet individu l’énerve et la repousse presque, mais elle ne peut s’empêcher de répondre à son sourire. — Entrez, je vous en prie, prenez place. Agnès pénètre dans le bureau équipé d’une table sur laquelle est posé un ordinateur, de deux chaises de visiteurs et d’une armoire métallique. Quelques tableaux sont fixés aux murs, représentant des voitures de sport. Un calendrier est également fixé sur le pan se trouvant juste derrière le fauteuil de Mr Louis. La feuille mensuelle représente une blonde juvénile, bronzée et à la bouche dédaigneuse. Elle est vêtue d’un chemisier transparent échancré et d’une jupe écossaise. Sa position accroupie, les jambes écartées, laisse entrevoir des cuisses charnues et une toison abondante. Une porte malencontreusement entrouverte, dans le fond de la pièce, donne accès à une sorte de vestiaire meublé de quelques armoires. La porte de l’une d’elle est ...
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