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Agnès et le garagiste
Datte: 04/04/2019, Catégories: fh, intermast, Oral préservati, pénétratio,
... ouverte et tapissée de photos de filles dénudées. Agnès jette toujours un coup d’œil rapide vers le calendrier à chacune de ses visites au garage. Choquée au début, elle a mis cela sur le compte de l’univers de ce genre d’établissement, qui est surtout celui d’hommes se prenant pour des dieux irrésistibles. Son regard se dirige également vers le vestiaire et elle éprouve un certain dégoût en voyant la décoration de la porte en question. — Merci, je n’ai pas beaucoup de temps, dit Agnès en s’asseyant sur une des chaises de visiteur en croisant les jambes, ce qui a pour effet de retrousser sa jupe de flanelle foncée presque à mi-cuisse. Les freins de ma voiture émettent un grincement qui m’inquiète un peu. Est-ce que je peux vous la laisser ? Mr Louis s’est installé derrière son bureau. — Ah, bien, heu, oui, pourquoi pas. Il vaut mieux nous la laisser pour l’après-midi. Le regard de l’homme se déplace avec vélocité sur les jambes gainées du tissu fin des collants gris qu’Agnès a malencontreusement dévoilées de même que sur sa poitrine qui tend le tissu soyeux de son chemisier de soie beige. Elle remarque la direction du regard du patron. Elle reste un instant immobile, pétrifiée par la honte. Le rouge lui monte immédiatement aux joues et elle décroise les jambes automatiquement pour tirer sur le bord de sa jupe. Le mécanicien retrouve ses esprits immédiatement. — Bon et bien, laissez-moi les clés, nous allons nous en occuper. Il est 15h00, vous n’avez cas repasser ce soir vers ...
... 18h30. Le garage ferme plus tôt aujourd’hui mais je serai présent, bredouille Mr Louis aussi gêné qu’Agnès par la situation. Il faut que je termine la comptabilité.— Merci, dit Agnès en se levant sur un ton un peu sec pour lui faire sentir son mécontentement. Elle se lève et sort du bureau sans un regard pour son interlocuteur qui se précipite pour la précéder afin de lui ouvrir la porte du local. Agnès attend d’être à l’extérieur de l’établissement afin de respirer un grand coup pour tenter d’évacuer le poids pesant qui comprime sa poitrine. — Je deviens complètement cinglée ! Se dit-elle en marchant. Le regard de cet homme lui a mis la tête à l’envers, il faut qu’elle l’admette. Ce n’est pas un mauvais bougre, continue-t-elle à se dire car, dans le cas contraire, il n’aurait pas été aussi gêné qu’elle par son comportement. Agnès poursuit ainsi son chemin vers son domicile situé dans le même quartier. Une fois arrivée chez elle, une envie subite l’entraîne vers sa chambre. Elle se positionne automatiquement devant la glace équipant son armoire de famille. Le teint lui renvoie l’image d’une femme élégante aux formes encore attrayantes. Elle n’a pas revêtu de pull par cette belle journée de printemps. Les mains posées sur les hanches, elle écarte légèrement les jambes. Les formes de ses cuisses se devinent un peu plus sous le tissu tendu de la jupe. Elle se cambre un peu et contemple sa poitrine automatiquement mise en valeur. Elle est consciente de la sensualité qui se dégage ...