1. Où il est question d'un rêve et d'une réalité


    Datte: 05/04/2019, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, voisins, gros(ses), revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu,

    ... je l’espère, me serviront plus tard. Je n’oublie bien sûr pas le tire-bouchon ! Aussitôt dit, aussitôt fait. Elles ne s’étonnent pas de la présence des boissons, mais se ruent sur les gâteaux qu’elles engloutissent. De vrais fours, ces nanas. Je me retrouve un peu coincé. Je n’ai pas prévu de scénario particulier, sauf pour ma sortie, et je ne sais que leur proposer. Mon objectif est maintenant de causer avec elles, tous les trois assis dans le plus simple appareil sur la terrasse. Il faut que j’arrive à ça… J’ai ma petite idée, mais il me manque un morceau de l’histoire pour y parvenir. J’invente des gages. Si elles acceptent, je leur ouvrirai la porte… Chantage ! Elles admettent de mauvaise grâce de faire les dix petits bonshommes sans rire que je leur impose, mais refusent de danser ou de se caresser mutuellement. Ce n’est pas que ça m’excite particulièrement, mais je cherche à les coincer. Et ce double refus me donne la solution. J’ai repéré une fenêtre sur le côté d’où je pourrais sauter dans le jardin, mais fenêtre par laquelle je pourrais rentrer à nouveau en m’aidant de quelque chose ou de quelqu’un. Je leur lance alors : — Pas de caresses, ça tombe bien, j’ai une petite faim ! Et je retourne me servir au frigo. Elles vocifèrent, grimacent, mais rien n’y fait. Mais plutôt que de retourner à la fenêtre où elles m’attendent, j’ouvre rapidement l’autre, sur le côté, et je saute dans le jardin puis apparais devant elles. Elles poussent un cri de guerre et tentent de ...
    ... se jeter sur moi. Mais leur souplesse, leur rapidité, leur sens du déplacement font tellement défaut que je n’ai aucun mal à les éviter. S’ensuit alors une course-poursuite dans le jardin, elles essaient de m’agripper, mais n’arrivent qu’à me frôler. Avec la maestria d’un torero, je peux me permettre d’avoir les mains baladeuses sans qu’elles n’aient le temps de réagir. Et je caresse seins, fesses et même foufounes des deux nanas. Plus je les tripote, plus elles se transforment en furies, et moins elles réfléchissent à une tactique pour m’attraper. De mon côté, ces frôlements ne laissent pas ma quéquette indifférente, et elle finit par se dresser fièrement. Ce que mes compagnes de jeu remarquent manifestement. Mais elles n’ont pas l’esprit à ça… Après m’être bien amusé, je tente de stopper le petit jeu… mais ce n’est pas simple, elles veulent me faire la peau, et « même me les couper » persifle celle aux nibards un peu moins imposants. Leurs tentatives d’encerclement restent cependant vaines et elles commencent vraiment à s’essouffler et même plus que ça. Le moment est venu pour une nouvelle négociation. — On se calme ? je questionne. Seuls leurs halètements épuisés me répondent. — Bon, je propose qu’on se calme. Je voudrais vous poser simplement une question et vous faire une proposition. La question : « Comment allez-vous faire pour rentrer chez vous ? » La proposition : « Vous voulez que je vous aide ? » Bon. Je vais me coucher dans le fond du jardin, et je vous laisse ...
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