1. Jeux entre frères (3)


    Datte: 20/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Julien, les cousines et moi. Pendant toute la durée du voyage, mon esprit fut préoccupé par mon rêve : celui de maman nue. Son image était en ce moment encrée dans mon esprit et devenait une obsession car elle apparaissait en permanence dans mon esprit. Par moment, j’avais le sentiment que c’était elle qui venait me tourmenter en me disant : « Regarde-moi, mon petit. Avoue que tu me trouves belle et désirable. » J’avais essayé d’imaginer à quoi ressemblaient nos deux cousines. Je ne les avais pas vues depuis plus de dix ans et les seuls souvenirs que j’avais d’elles étaient les silhouettes de deux gamines coquines et impudiques. À notre descente du car, notre oncle nous accueillit avec toujours la même joie et la bonne humeur qui le caractérisaient. — Bonjour, les garçons, vous me reconnaissez ? Je suis Fernand, votre oncle. — Oui, bonjour tonton, lui répondîmes-nous. — Holà, les gars ! Pas de mondanités entre nous ; appelez-moi Fernand. — Bien, Fernand. — Alors comment ça va ? Vous avez fait bon voyage ? Alors comme ça vous venez passer quelques temps avec nous ? L’air de la montagne vous fera le plus grand bien. — Oui, Maman n’est pas bien en ce moment… — Je sais, je suis au courant, mais ne soyez pas inquiets ; je la connais bien, ma frangine. Elle va vite refaire surface et un peu de solitude lui permettra de mettre de l’ordre dans ses affaires. — Si tu le dis… — Faites-moi confiance. Allez, en route ! Après avoir récupéré nos sacs dans le car, Fernand se dirigea en ...
    ... boitant vers un énorme 4x4 Land Rover d’un autre âge ; il semblait sortir d’un musée. Une fois que nous nous fûmes installés, il démarra le moteur qui fit un bruit assourdissant puis il passa la première. Les engrenages de la boite de vitesse poussèrent des hurlements et le vieux Land Rover s’ébranla dans un nuage de fumée suffocante. Une fois lancé, le tas de ferraille roulait à vive allure sur cette route étroite et escarpée des Alpes de Haute Provence. Je m’accrochai à mon siège pour ne pas tomber à la renverse dans les virages que mon oncle abordait avec rage tout en jurant après ces ingénieurs incapables de tracer des routes droites. Comme nous venions de dépasser le village du Fugeret, il s’exclama : — Nous voici arrivés ! Au bout d’une bonne heure de virages et de jurons, notre périple se termina enfin dans la cour de leur ferme. Une femme arriva à notre rencontre, c’était Lucienne, sa femme. Comme Fernand, elle avait ce visage de montagnard buriné par le temps et ses quarante-cinq ans en paraissaient dix de plus. Elle nous accueillit avec la chaleur habituelle et si caractéristique de ces gens ; elle nous fit entrer dans la maison et nous fit nous assoir. — Et bien, dites-moi : vous avez bien changé tous les deux, vous voilà devenus des hommes, maintenant ! — Oui, tata, ça fait un sacré bout de temps que nous ne nous sommes pas vus. — Oubliez, le « tata » : ici on, s’appelle par nos prénoms. Installez-vous à table, vous devez avoir faim, car après il y aura du boulot ; je ...
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