1. Jeux entre frères (3)


    Datte: 20/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vais vous expliquer. Nous fûmes tous les quatre autour de la table garnie de victuailles plus odorantes les unes que les autres. Il y avait de tout ; du jambon sec, qui à sa vue, me donnait envie de le croquer à pleine dents. Outre le jambon, il y avait une terrine de pâté qui ne venait certainement pas de chez le charcutier et encore plein de bonnes choses. Tout en mangeant, Lucienne prit la parole : — Les garçons, j’ai eu votre mère au téléphone et elle m’a parlé de ce qu’il s’est passé. C’est pour cela qu’on a décidé de vous accueillir quelque temps ; elle a besoin de faire du tri et du ménage dans son esprit, alors le mieux c’est qu’elle soit seule. Si cela vous dit, vous pouvez rester le temps que vous voulez. Un ou deux mois ; à vous de voir. Et puis il y a vos cousines ; depuis le temps que vous ne vous êtes pas vus, vous allez pouvoir vous raconter tout un tas de choses. — Ben, oui, mais qu’est-ce qu’on va faire ici, il n’y a rien, reprit Julien. — En réalité, vous pourriez nous être d’un grand secours. — Et comment cela ? — Vous avez vu que Fernand boite. — Oui, qu’est-ce qu’il lui est arrivé ? demandai-je. — Un accident bête : il est tombé dans un ravin alors qu’il était seul avec le troupeau de moutons dans la montagne et il s’est cassé le bassin. Si nous n’avions pas eu les chiens, il ne serait plus là aujourd’hui. La chienne Sully a donné l’alerte en allant chercher un berger sur l’autre versant de la montagne. — Il a eu de la chance et vous avez une bonne ...
    ... chienne. Et le troupeau ? dis-je. — Oui, maintenant nous sommes embêtés, les filles gardent le troupeau et nous avons démarré une production de fromage là haut. Au marché, les clients en sont friands. Seulement, elles ont du mal à s’en sortir car le travail est considérable et avec Fernand blessé, c’est très compliqué. — Et nous, on peut vous aider sans doute. — Ce serait formidable, vous pourriez monter aider les filles et puis entre jeunes c’est mieux. — Et bien, c’est d’accord. Ça te dit, frangin ? — Moi, je marche, et puis il y a la montagne et le paysage, répondis-je — Oui mais il n’y a pas de réseau téléphonique. Vous savez, c’est la montagne. Mais je pense que cela va bien se passer avec vos cousines, conclut ma tante. Notre tante nous expliqua tout sur ce qui nous attendait là-haut. Nous serions seuls avec nos cousines pour garder les bêtes et aussi aider à la traite et à la fabrication des fromages. Elle nous informa que le confort y était spartiate : pas de réseau téléphonique, pas d’électricité. Il faillait aller chercher l’eau à une cascade toute proche pour se laver ou s’y doucher directement à condition de ne pas être trop frileux. Elle nous dit en riant que cela était bon pour la santé, raffermissait la peau et réveillait les sens. L’idée de nous transformer en homme de Cro-Magnon était loin de nous déplaire. Nous acceptâmes la proposition tout en sachant que nous partions au minimum pour une semaine complète. Eux ne montaient qu’une fois par semaine pour assurer le ...