1. Les émois de Valériane - 1/3


    Datte: 22/06/2017, Catégories: hplusag, hotel, voiture, autostop, intermast, Oral init,

    ... faites pas mal.— Du mal, tu n’y songes pas, belle Valérie chérie, je ne veux au contraire que ton bien, ton plus grand bien même, celui dont tu n’as pas seulement idée. Je détache ma ceinture et tente de m’éjecter de la voiture dont je constate alors qu’il a verrouillé les portes. Je me trouve coincée entre lui qui s’est déplacé sur le siège central et cette porte bloquée. La Multipla n’offre, avantage ou danger auquel je n’avais jusqu’à ce jour jamais pensé, aucune séparation entre les places avant. Il va me falloir réviser ma cote d’amour pour ce panier à salade, et pour l’instant, la salade c’est moi, que l’on effeuille déjà. Des mains m’assaillent de partout, des mains sur mon pull qui expertisent ma poitrine, des mains sous ma jupe qui évaluent la musculature de mes jambes. Et des lèvres aussi, gourmandes, sèches, rêches, des lèvres exsangues en quête des miennes qui s’approchent, s’accrochent à elles et les pressent dans l’espoir d’un baiser, une langue perforante enfin qui veut forcer ma bouche. Leur échec les détourne sur mon cou où elles s’accompagnent des picotements d’une barbe qui allume de chaudes démangeaisons. Je ne tente pas d’appeler – qui pourrait m’entendre dans cet isolement –, mais me débats aussi vaillamment que vainement sous ce corps massif et lourd qui m’écrase. J’essaye d’écarter ces tentacules, elles encore qui s’insinuent, grosses pattes noueuses, rugueuses et qui fourragent sous mon chandail, accrochent mon soutien-gorge le roulant vers le haut, ...
    ... empaumant la frêle tendresse de mes seins juvéniles. Soudain, agiles et adroites, elles dégrafent ce rempart protecteur puis agrippant tout ensemble ces linges qui cachent mon torse les font basculer par-dessus ma tête. Je suis nue, exposée à son regard incendiaire qui ne me laisse aucun doute quant à l’efficience de mes charmes. Pour mieux les déguster, lubrique, il se recule. Je sens que comme pour lui complaire mes seins déjà fermes se redressent, mes mamelons rosés se carminent et que mes gentils tétons se gonflent d’une ardeur équivoque. Je suis paralysée, anéantie par la peur, bouleversée de stupeur. Gloutonne, sa gueule revient à la charge et se précipite sur ces misérables appas. Elle les pourlèche avec voracité, les aspire goulûment avant que les dents ne s’escriment sur leurs cimes fragiles qu’elles mordillent et agacent. C’est ignoble, mais délicieux. Des fulgurances me vrillent et des éclats de volupté me transpercent. Ces mains maintenant s’activent, pour l’une sur mon second sein, pour l’autre, plus entreprenante, sous ma jupette où elle enfonce sa brûlante ignition vers des zones interdites. J’ai fermé les yeux, ne le vois plus et ne ressens, en dépit de mes vaines alarmes, que le splendide et insensé vertige de mon abandon, le fol appel de mes sens tandis qu’il glisse une phalange habile dans mon string. Explorant mon mont de vénus, glissant vers l’antre secret, que je lui tends bien involontairement, et qu’il visite d’un bref, mais mémorable affleurement, il ...
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