1. Souvenirs de "Cendrillon", suite et fin


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, hh, fhh, jeunes, extracon, profélève, vacances, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral Partouze / Groupe init,

    ... corsage, ce corsage sous lequel mes seins, libres et arrogants, ne demandaient qu’à jaillir. Philippe me dit toujours que quand mes seins, lourds et fermes, se dévoilent, l’envie lui prend de rendre grâce à la générosité de la Création, qu’ils sont le comble de ma féminité, puisqu’ils évoquent à la fois la mère nourricière et la Venus erotica, le réconfort des enfants et le désir des hommes… Est-ce cela que ressentit Christian quand ma poitrine, de mon corsage, tendit vers lui ses pointes insolentes ? Je sais bien qu’il m’avait vue seins nus à la plage, mais il sembla, dans ces circonstances si nouvelles, les voir pour la première fois… Tout en m’aidant à m’ôter complètement mon corsage, il me caressa les bras et rapprocha son visage de mes seins. Torse nu, pied nus, je m’offrais à ses baisers ; mais lorsqu’il plaqua ses lèvres sur mon mamelon, la voix de Philippe sonna comme un rappel à l’ordre amusé : « Eh, Christian, il me semble que tu vas un peu au-delà de mon invitation… Je t’ai demandé de la déshabiller. Le reste suivra, mais en temps voulu… » Ce fut dur, pour Christian comme pour moi, de s’arracher à ce doux contact, mais n’avions-nous pas décidé de jouer le jeu jusqu’au bout ? Christian se remit donc au «travail» et, passant ses mains dans mon dos, dégrafa ma jupette, qui tomba à mes pieds. D’instinct, je mis mes deux mains devant ma culotte, on ne peut plus transparente, mais je m’aperçus aussitôt combien c’était ridicule. Christian regarda Philippe. Mon mari, ...
    ... aussitôt, un sourire au coin des lèvres, passa dans mon dos. Il colla son pantalon contre mes fesses que la culotte, indécemment échancrée, découvrait presque entièrement. Je sentis contre mes fesses, sous son pantalon de toile légère, la dureté de sa queue et je ne pouvais m’empêcher de faire pression sur sa braguette avec mon petit cul (oh, comme j’aime, dans l’intimité de ma pensée, dire, ce mot que, si souvent, je m’interdis par pudeur devant mon mari… encore ma bonne éducation… mais maintenant, oui, je peux me le dire : mon cul, mon petit cul, mon cul qui te rend fou, chéri, qui te rend fou…, comme c’était bon de sentir ta queue, chérie, tendue contre mon petit cul d’amour…). Mon mari derrière, mon futur amant devant, je n’y tenais plus. Ma petite culotte était déjà trempée, je sentais à travers le mince tissu l’humidité sur mes doigts. Et Philippe qui, de derrière, de plus en plus collé contre moi, me saisit les deux bras et me força, doucement mais fermement, à dégager mes mains de devant mon slip. Impossible maintenant que Christian ne voie pas mon minou, ma petite chatte toute rasée derrière le tissu transparent, impossible que l’humidité de ma culotte, que la flaque de désir que j’avais répandue lui échappe. Qu’allait-il dire, qu’allait-il penser ? Il faut que j’arrête, que j’arrête de repenser à cette scène ; je ressens encore les vibrations de ce désir qui m’a saisie alors. Et ce voyage qui dure une éternité, alors que je n’ai qu’une envie : que Philippe à côté de moi, ...
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