1. Souvenirs de "Cendrillon", suite et fin


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, hh, fhh, jeunes, extracon, profélève, vacances, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral Partouze / Groupe init,

    ... davantage encore. « C’est… vous êtes vraiment gentils… Je suis vraiment confuse d’arriver en pleine nuit, dans des conditions pareilles… — Vous allez prendre mon lit, dit Jean-Pierre… Vous irez mieux demain et nous causerons, vous devez être fatiguée… C’est sans doute une dispute de rien du tout, un malentendu avec votre mari…— C’est plus et moins que ça… Mais tu as sans doute raison, Jean-Pierre, je vais me coucher… Les trois garçons se retirèrent, mais Sylvio me jeta, en partant, un regard où je pus lire tout ce que j’avais envie de lire. Il avait encore en lui la saveur de notre étreinte sur la plage : en avait-il parlé à ses amis ? Leur appartement était un deux-pièces. Ils m’avaient laissée la chambre et étaient allés dormir dans le salon. Dormir ? Non. Je les écoutais : ils n’arrêtaient pas de causer… Et moi, bête que j’étais, je n’avais pas même emporté une chemise de nuit et me voilà à gamberger toute seule dans ma chambre, nue, presque déçue : qu’avais-je imaginée ? Allaient-ils se jeter sur moi pour me violer ? Pouvaient-ils imaginer que ce fût mon désir ? Mais je n’avais pas envie de dormir, non, pas du tout. Je m’allongeai sur le lit, restant à l’extérieur du drap, heureuse d’être nue et de sentir le contact du drap frais sur son dos et mes fesses. Bouleversée de savoir qu’à quelques pas de là, trois jeunes mâles discutaient et peut-être ...
    ... fantasmaient sur moi. Quelle situation absurde ! J’avais envie d’eux. Pas de Sylvio, pas de Jean-Pierre, pas de Thomas, non : de tous les trois. Je les imaginais, ouvrant la porte, me trouvant là, en pleine lumière, nue, n’attendant qu’eux… A cette seule pensée, mes mains, d’elles-mêmes, se posèrent sur mon sexe déjà humide. Depuis que je m’étais épilée, j’avais l’impression que toutes mes sensations étaient démesurément amplifiées, à peine avais-je effleuré mon clitoris que je sentis comme une décharge électrique… Ils continuaient à palabrer. Oh, qu’attendaient-ils ? N’avaient-ils pas compris ? Ne voyaient-ils pas ma lumière allumée ? Ne comprenaient-ils pas l’invitation ? Et mes mains, mes deux mains entre mes jambes, continuaient leur œuvre… Je m’aperçus soudain dans le miroir et je me souris. Comme je me sentais belle, à nouveau, comme mon corps, tout à coup, resplendissait ! J’atteignis tout à coup une étrange certitude. Ils allaient comprendre, ils allaient venir, ils allaient entrer, je m’offrirais à eux, je m’immolerais à leur jeunesse et à leur ardeur et demain, je rejoindrai Philippe, celui que je n’avais jamais cessé d’aimer ; je le rejoindrai, je le comprendrai, réconciliée avec lui, réconciliée avec moi-même. Et que Christian aille au diable ! Un quart d’heure plus tard, j’entendis frapper à la porte : « Entrez », dis-je, dans un murmure… FIN 
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