Souvenirs de "Cendrillon", suite et fin
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
jeunes,
extracon,
profélève,
vacances,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
init,
... nous sommes effondrés tous les trois en même temps, Christian n’avait pas pu résister à mon cri de jouissance et avait répandu sa semence à longs jets sur le sol… Philippe, lui, attendit que je sois allongée sur le sol pour jouir sur mes seins… Il y eut un long moment de silence. Au bout de quelques minutes, je partis me doucher, laissant mes deux hommes échanger des regards complices et satisfaits… Moi, après cette extase, je ne pensais plus qu’à aller cacher ma confusion et ma colère. Oui, ma confusion. Cela peut sembler curieux, mais le sentiment de fatigue que j’avais éprouvé au début de la soirée se doublait à présent d’un malaise plus profond. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Quelques minutes après ma douche, je me suis arrangée pour être seul avec Philippe, et j’ai déversé ce que j’avais sur le cœur : « Philippe, excuse-moi, mais je ne me sens pas bien… Il faut que je sorte… Ce que j’ai vu ce soir, je n’arrive pas, ou pas encore à m’y habituer. Savoir que tu as… que tu as… couché avec Christian… tu comprends… C’est un peu trop en quelques jours. — Chérie, je…— Laisse-moi finir. C’est ma dignité d’épouse qui est blessée, cette fois, et ma liberté de femme. Tu as voulu me donner à Christian et tu as couché avec lui. Je ne suis pas un second choix. J’ai besoin de retrouver ma dignité. Je ne coucherai pas ici ce soir, après nous verrons.— Mais que dis-tu ? Tu ne vas pas… ?— Ne me pose aucune question : tu as été libre de baiser Christian. Ce soir, je sors. Seule. Je découche, ...
... si tu préfères. Ensuite, ça ira mieux.— Mais où vas-tu ?— Je t’ai dit de ne pas me poser de question… Tu ne vas tout de même pas, maintenant, après tout cela, te mettre à être jaloux ! Ces derniers mots avaient été prononcés presque méchamment. Philippe se tut. Je lui tournai le dos, sans même l’embrasser… Christian était dans la salle de bains. Je ne pris pas la peine de lui dire au revoir. Je sortis. Je savais ce que j’avais envie de faire et ce que, pour la première fois de ma vie, je me sentais vraiment le droit de faire. * J’avais pris le numéro de téléphone de Sylvio. Ses deux amis et lui n’habitaient pas loin. Je savais où je m’engageais en les demandant de m’héberger pour la nuit parce que « je m’étais un peu disputée avec mon mari » (c’est ce que leur dis au téléphone, la voix pleine de larmes). J’étais dans un état second ; si en chemin, j’avais croisé n’importe qui, je me serais prostituée. J’avais une revanche à prendre. Pourtant, arrivée devant la porte de leur appartement – il était plus de minuit ! –, je faillis rebrousser chemin. Qu’étais-je en train de faire ? J’allais repartir, quand Silvio ouvrit. Son doux sourire d’adolescent me fit fondre, m’ôta mes derniers doutes… Je me blottis dans ses bras. Aussitôt, ses deux autres accoururent, Jean-Pierre, le grand Corse, et Thomas, avec ses allures d’intellectuel aux cheveux roux… Ils étaient tous les trois si différents, mais beaux, chacun à leur manière. Ils firent un cercle autour de moi… Cela me réconforta, et ...