1. Le grenier


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, ff, cocus, essayage, hotel, Oral pénétratio, fsodo, exercice,

    Mon mari a une maîtresse, plusieurs peut être, et ça ne me fait ni chaud ni froid. Depuis la naissance de notre petite Zoé, presque un an maintenant – que le temps passe – j’ai perdu mon appétit pour le sexe. Pourtant avant, Damien et moi avions une vie sentimentale animée et partagée. Je sais que mon "dégoût", ou pour le moins "mon manque d’envie", est bien connu et que cela peut se soigner ; Damien m’y encourage régulièrement, mais je n’arrive pas à me décider. Donc je pense qu’il va se satisfaire ailleurs. Qui le condamnerait ? Au début, il a fait de gros efforts pour relancer ma libido, mais maintenant il en a pris son parti. De temps en temps il fait une tentative, mais passe rapidement les préliminaires pour me prendre et cracher son jus entre mes cuisses. Je ne peux pas dire que je ne ressente rien, mais on est bien loin des orgasmes d’avant. Par contre, la tendresse et l’amour sont toujours là. Par exemple, il me fait des cadeaux, réflexe presque pavlovien du mari qui trompe sa femme. Pour les "un an" de la naissance de Zoé il nous a réservé, en amoureux, une semaine dans un hôtel de charme, un Relais&Châteaux avec tout l’attirail sportif, culinaire, spa, etc. Ce château est un labyrinthe que j’explore et où je me perds, en particulier dans la partie non rénovée, en principe réservée au personnel, mais si étendue que je n’y rencontre jamais personne. Damien, lui, en profite pour faire du cheval. Moi, j’ai horreur de cette grosse bête, d’autant qu’il fait un temps de ...
    ... chien. Le couloir à peine éclairé par des veilleuses est dans son jus : sol de carreaux, murs de plâtre, mais poutres apparentes avec toute une succession de portes sur la droite. Certainement les chambres du personnel car de la lumière suinte par les interstices, preuve de fenêtres dans les pièces. Par contre de l’autre côté, une seule double porte avec un petit carreau en hauteur. Manifestement cette pièce est éclairée et, en me mettant sur la pointe des pieds, je découvre un grand espace rempli de portants alignés comme à la parade et recouverts de vêtements. Une pancarte succincte précise : Réserve. Ne pas fumer. Entrée interdite à toute personne étrangère au service. Attirée par cette interdiction, j’essaie d’ouvrir la porte, mais elle résiste. Comme personne ne vient, je pense qu’ils ont oublié d’éteindre la lumière. Déçue (j’ai toujours été attirée par les déguisements), je continue mon chemin. C’est au moment de franchir la porte à l’autre extrémité du couloir que je remarque une très faible lueur qui sort du mur de plâtre, dessinant les contours d’une ouverture assez basse. Je ne suis plus à une indiscrétion près et je pousse cette cloison mobile qui, à ma grande surprise, s’ouvre facilement. Un pas, deux pas en avant et j’entre dans un petit local, plus proche d’un couloir que d’une vraie pièce, certainement un débarras où on entrepose de vieux objets. Il me semble d’ailleurs apercevoir des chaises ou des fauteuils. J’ai un moment d’angoisse lorsque je constate que ...
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