Le grenier
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
essayage,
hotel,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
... la porte s’est naturellement refermée derrière moi, mais en réalité pas totalement, pour laisser ce fameux interstice qui a attiré mon regard. Mes yeux s’habituent à la demi-obscurité. Le peu de lumière semble venir de la gauche, du mur lui-même. Encore quelques pas et je découvre qu’une partie de ce mur est en réalité transparente, comme si une vitre étaient incrustée. Je comprends alors que la lumière provient de la "réserve" car j’y vois les portants et des vêtements. Je constate que sur une surface de deux à trois mètres carrés on voit de l’autre côté. Je comprends. Un miroir sans tain. Cette pièce est une cachette pour surveiller ce qui se passe de l’autre côté. Pourquoi ?Idiote, pensai-je.Les chaises ! Les chaises sont pour les voyeurs. Ils devaient s’installer et regarder les femmes se changer, s’admirer devant une glace qu’elles pensaient normale alors que d’autres les espionnaient. Un coup d’œil suffit pour voir que cette installation ne date pas d’hier et que les voyeurs étaient d’une autre époque. Je vais partir lorsque je remarque qu’un des portants bouge, laissant apparaître une femme et un homme débraillés comme peut l’être un couple au début de ses ébats. La femme s’agenouille devant l’homme pour lui faire une fellation. Elle est belle et bien faite. Pas du tout le genre de cheval que mon mari devrait être en train de monter. Car c’est bien son sexe que la femme fait raidir en le suçant avec gourmandise. Voilà donc mon chéri surpris avec une maîtresse. On est ...
... arrivés depuis deux jours et il est déjà en main avec une soubrette de l’hôtel. Sans l’excuser, je dois dire que sa tentative de cette nuit après repas arrosé, câlins et tout le tintouin, s’est soldée par un échec. Je ne me suis pas réveillée sexuellement, et cette fois j’ai pris la décision de consulter dès notre retour. — Qui êtes-vous ? Que faites-vous là ? C’est privé ! dit soudain une voix qui vient de ma droite. Une tête apparaît. Une femme est assise et je ne l’ai pas vue, enveloppée qu’elle est dans un fauteuil profond. — Euh, c’est mon mari… dis-je sans vraiment réfléchir, comme si cela excusait mon indiscrétion et ma présence dans ces lieux ô combien privés. Et j’insiste : — Et vous ? Du tac au tac, la femme me répond : — C’est ma copine. La situation en est presque drôle. La femme se lève. — Votre mari ? Je vais répondre, mais une vibration attire l’attention de la femme qui sort un téléphone de la poche de sa blouse, arrête la sonnerie et me dit : — Je dois aller prendre mon service. Venez. Je vais pour la suivre, mais quelque chose me retient. — Je ne pourrais pas rester ? Comme je ne réponds pas, ne sachant pas vraiment ce que je veux, elle enchaîne : — Ah, je comprends : vous êtes un couple libre. Je ne dis toujours rien. Elle prend mon silence pour un aveu. — D’accord. Mais surtout pas de bruit. Ne vous faites pas remarquer. Et en partant vous tirez bien la porte sur vous. Elle est déjà dans le couloir, mais se ravise. — Je m’occupe du spa. Venez demain, le ...