Le grenier
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
essayage,
hotel,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
... matin vers 10 heures ; il y a personne à cette heure là. Nous pourrons parler, si vous le souhaitez. Quelques instants plus tard, j’ai pris sa place dans le confortable fauteuil et suis devenue une voyeuse. Qu’est ce qui me pousse à vouloir regarder ce couple ? Envie de souffrir ? Envie de me punir de ne plus être une bonne épouse ? La curiosité ? Une envie mal placée de regarder son mari se faire sucer par une autre ? Je n’en sais rien, et à la limite je m’en fous. La psychanalyse, on verra plus tard. Pour l’instant je regarde. Et je suis aux premières loges. La femme, bien sûr, connaît l’existence de ce miroir, et cela ne m’étonnerait pas qu’elle sache que sa copine est derrière. En tout cas, elle fait tout pour mettre en valeur sa fellation d’enfer. Pas la peine d’entendre le son, mais au visage de Damien je vois bien qu’il apprécie. Merde. Il m’a vue. Ses yeux ne quittent plus le miroir. Peut-être que le miroir a mal vieilli et que par endroits le regard traverse. Mais non, ce n’est pas moi qu’il regarde ; c’est en réalité le reflet de son sexe que sa maîtresse pompe. Ainsi le coquin a la vision de profil, celle où les lèvres de la femme avancent et reculent sur le mât tendu. Il a une belle queue, mon homme. Bien sûr, je la connais : longue, bien droite, tendue, et dure dès qu’on s’en occupe un peu, et même souvent déjà préparée uniquement par la pensée de la baise à venir. En plus, il a développé une technique qui m’enchantait avant. Si sa première éjaculation est assez ...
... rapide, il rebande aussitôt, et libéré de la pression il devient un amant résistant et se contrôlant parfaitement. D’ailleurs je vois aux traits de son visage que si elle continue de le pomper il va cracher son jus dans sa gorge. J’ai raison, il la repousse, la relève et d’elle-même la femme vient s’appuyer au miroir, mains en appui, poussant sa croupe vers le mâle. Elle porte encore sa tenue de soubrette et j’imagine que Damien est sensible au charme de l’uniforme. Manifestement, il s’est déjà occupé de libérer la poitrine qui émerge du sage chemisier. Il soulève la jupe pour extirper une culotte qui paraît bien vieillotte pour la pose provocatrice. Maintenant il peut avancer. La jupe me cache l’intimité où tout doit se passer. Mais les visages parlent. Lui est concentré, un léger rictus aux lèvres, tout au plaisir de faire avancer son sexe dans la fente. Elle, coquine, qui regarde droit devant elle comme si elle pouvait fixer dans le débarras son amie voyeuse. Le clin d’œil complice qu’elle lui envoie fait vite place à plus de spontanéité. La bouche en cul de poule doit laisser sortir un « Oh ! » de surprise lorsque Damien, qui la saisit aux hanches, lui balance un coup de reins dont il a le secret. La grotte est envahie. Mon homme est au plus profond. Pourquoi suis-je si fière et non pas fâchée de sa vigueur ? Sûrement parce que je sais qu’il m’aime, moi, et que la pouliche qu’il monte n’est qu’une panacée, une… oui, j’ose : une vide-couilles. Mais en le voyant maintenant ...