Le grenier
Datte: 07/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
essayage,
hotel,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
... pense-t-il de moi ? Un regard me rassure. Il sourit, et la vigueur du membre qui va-et-vient en est aussi une preuve. Cette situation l’excite. Les hommes rêvent toujours de voir des femmes se gouiner. Alors la sienne… J’ai du mal à détacher mes yeux de sa queue qui s’active si près de moi et glisse dans la fente de sa maîtresse. Claudia a baissé ses jambes pour que je puisse profiter du spectacle. Moi aussi je reprends mes caresses. Ainsi, mari et femme, nous travaillons de concert au plaisir des autres. Quelle étrange situation… Étrange mais agréable. Je suis toute excitée par ce que je vois et ce que je fais. Damien jouit. Il libère sa liqueur au plus profond du vagin de l’employée, accompagnant chaque montée de jus par de petits coups de reins. Il se retire. À quelques centimètres de mes yeux, je vois la fente se refermer, mais un filet blanchâtre en suinte. Une folie ! Une envie irrépressible ! Un geste impensable ! J’abandonne Claudia pour ramper entre les cuisses d’Amélie, y plonger et venir cueillir le suc de mon mari. Je lape, je lèche tel un caniche devant sa gamelle. Ici, la gamelle est une fente onctueuse, grasse, encore entrouverte d’où s’écoule tout doucement le mélange de leurs plaisirs. Amélie, d’abord surprise, se laisse aller devant la voracité de la femme de son amant. Des mains, je soulève ses fesses pour accéder plus facilement aux richesses cachées. Elle m’aide en se cambrant. Je vois aussi son amie venir s’asseoir sur son visage, impatiente de ...
... prendre sa part de plaisir. Nous devons donner un spectacle particulièrement bandant à Damien. Trois femmes qui se gouinent, quel homme n’en serait pas rendu fou ? Je ne le vois pas. Il est derrière moi. La cuisse d’Amélie me cache le miroir. Mais je l’imagine, mâle dominant, debout, se flattant une queue qui doit déjà se raffermir. Mais n’est-il pas fâché de voir sa femme se comporter en gourgandine, la découvrant dans des plaisirs qu’il ne lui connaissait pas ? Et cette femme, elle est juste devant lui, à genoux, les fesses en l’air, la tête disparaissant entre les cuisses de la fille qu’il vient d’honorer. Au moment où j’égrène ces pensées et questions, je sens des mains puissantes se poser sur mes fesses et un dard se frotter dans mon sillon. Mon mari est de retour. Et moi je n’ai qu’une envie, que je croyais disparue pour toujours : c’est qu’il me prenne. Qu’il prenne cette chienne en chaleur accroupie devant lui et qui n’attend que ça. D’un coup de reins, d’un seul, il est en moi. Sa queue dérape dans ma mouille déjà bien initiée par mes jouissances avec Claudia et renforcée par cette envie de possession. Comment ai-je pu oublier ce plaisir ? Ce n’est pas seulement un bâton de chair qui entre, mais un charbon ardent qui brûle tout sur son passage. Cette brûlure, c’est celle de la vie, celle de l’amour, de l’homme qui redécouvre sa femme et elle qui jouit déjà de cette possession. Je tortille du cul comme une salope qui veut faire comprendre qu’elle apprécie. J’ondule de la ...