La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1072)
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) - - J’y compte bien, Walter, j’y compte bien (toujours en me fixant avec une intensité encore augmentée)… Après avoir conduit le visiteur dans un salon d’attente, le Majordome revint très excité... pas d’une excitation sexuelle, mais plutôt comme s’il avait quelque chose de très important à faire, qu’il ne devait pas rater absolument. Entre temps, j’avais osé demander à Virginie qui était ce Monsieur à qui Walter donnait avec semble-t-il un énorme respect, peut-être même de la crainte, du « Messire » - C’est Monsieur le Comte de Beusgley (lire La Saga des esclaves … - saison 1), un très grand ami du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, et qui a des écuries de chevaux de courses. Mais il est également grand amateur de Femmes pourvues qu’elles soient racées, un peu comme les juments Pur-Sang qu’il possède en nombre, me répondit Virginie dans la mesure où elle était autorisée à répondre à mes éventuelles questions. - Ah ! Je comprends mieux certaines réflexions, dis-je... Le Majordome fit irruption donc dans la pièce où nous nous trouvions, Virginie et moi-même. - Virginie, tu prépareras la chienne Isabelle comme suit : Talons très hauts, les plus hauts possibles, guêpière avec lacets très serrés, gants de soie, ongles maquillés pieds et mains, tu la maquilleras, parfumeras et lui passera ce collier et cette laisse... Il montrait un collier et une laisse que je ne connaissais ...
... pas, collier de cuir travaillé et large, incrusté de pierres précieuses formant les Initiales ‘’MDE’’ et la laisse ornée d’émeraudes sur son pommeau… - Oui Monsieur, répondit Virginie… (Walter sortit en ajoutant) - Je viens chercher la chienne dans une heure ! - Bien, Monsieur ! (Virginie me dit) - On n’a pas beaucoup de temps, viens vite avec moi. - Je te suis, répondis-je. Excitée comme je l’avais été, vous imaginez dans quelle situation était ma vulve, littéralement en fusion… Je perdais de ma cyprine comme si je faisais pipi sur moi en permanence. Je suivais Virginie qui marchait vite, me faisant signe d’avancer plus vite. Elle me semblait subitement craintive, craignant quelque chose que je ne saisissais pas, aussi, j’accélérais mes pas… Nous entrâmes dans une vaste pièce, (une de plus, le Château étant si vaste) dans laquelle trônaient des centaines de tenues vestimentaires suspendues sur des cintres, triées par tailles, des milliers de paires de chaussures, des guêpières, des bas, des mantilles, des capes, des gants de toutes sortes. Beaucoup de ces tenues étaient signées de grands créateurs ou marques célèbres… - Tout d’abord, douche rapide, me dit Virginie. Viens ici ! - J’arrive, le temps de retirer mes chaussures… J’entre dans la douche, qui fut effectivement rapide : Jet d’eau glacée, friction au gant de « crin » qui me fit rougir la peau ressemblant plus à une écrevisse qu’à autre chose… suivi du séchage qui me réchauffa quelque peu, puis, direction la salle ...