La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1072)
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’essayage. Merci la douceur ! Une autre esclave, âgée d’une cinquantaine d’années, était présente, triant les vêtements, chaussures, refaisant un point par ci, raccommodant par là… L’esclave était plantureuse mais bien proportionnée. Son large fessier et sa poitrine généreuse portaient des traces de marques de punitions anciennes. De ses tétons et clitoris pendaient des anneaux reliés entre eux par une chaînette. Ses cheveux relevés en chignon lui allaient très bien. D’un coup d’œil, en habituée, elle me jaugeât, - Tu fais du 36 de taille ? me demanda-t-elle - Oui…. (Je la regardais et elle me dit) - Je suis l’esclave Sophie. - Oui, Sophie, je fais du 36 de taille. (Sophie prit mes mensurations) - Viens, suis-moi, reprit Virginie, je vais te maquiller comme le veut Monsieur Walter. Je suivais Virginie qui me fit m’assoir devant un miroir psyché, au bois finement ciselé. Elle commença par me passer une crème très douce et odoriférante, vernis mes ongles de mains et pieds d’un superbe rouge, mes paupières et mes cils également…puis me fit me lever comme pour apprécier son œuvre. Comme il se doit, le maquillage était très discret rehaussant seulement mon regard de tigresse. Quelques pointes de parfum aux creux des poignets, entre mes seins, terminèrent la toilette. - Je crois que cela ira, me dit-elle ! Regarde-toi et dis-moi ce que tu en penses ? - Je suis superbe Virginie, tu as parfaitement marié les tons… superbe, merci… - Je connais les goûts du Comte de Beusgley, ...
... tu sais, il ne passe absolument sur rien… - Ah ! - Viens vite, le temps passe, viens essayer ce qu’esclave Sophie t’a préparé. Fais vite Monsieur Walter va revenir, on n’a pas le temps, me redit-elle. Nous voilà dans le dressing, esclave Sophie avait l’air aussi tendue que Virginie, décidément me dis-je, ce Comte semblent perturber les esclaves... Assez sèchement car stressée, esclave Sophie me dit : - Enfile cette guêpière ! Je passais la guêpière, me présenta à elle bras écartés, pour qu’elle commence de serrer les lacets, assez rudement je dois dire, me forçant à me relever, j’en avais presque le souffle coupé. Mes seins reposaient sur la guêpière comme offerts. J’enfilais des bas, attachés à la guêpière et « montait » sur des escarpins dont les talons dépassaient les 16 cm. Virginie me parfuma à nouveau, tandis qu’esclave Sophie regardait son œuvre et l’horloge placée au mur opposé. - Vite, un dernier point encore, le collier Virginie et la laisse, fais-vite s’il te plait, Monsieur Walter ne va pas tarder à revenir ! - Oui, tout de suite. Virginie courait, et revint aussi vite tendant collier et laisse à esclave Sophie, qui me le passa autour du cou. Je me regardais dans le miroir tandis que Virginie le basculait de façon à ce que je me vois entièrement. Je reconnais que j’avais de l’allure… J’étais en train de m’admirer quand la porte s’ouvrit brutalement, laissant entrer le Majordome, semble-t-il essoufflé. - Elle est prête dit-il immédiatement ? Sophie et Virginie ...