La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1072)
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... s’inclinaient respectueusement devant Walter, tandis que Sophie, répondit - Oui, Monsieur, est-elle à votre goût ? - Très bien mais ce n’est pas à moi qu’elle doit plaire. Walter tourna rapidement autour de moi et lança : - Suis-moi, chienne ! Je sortis, le suivais tant bien que mal avec mes talons… Walter semblait réellement tendu… - Je vais te conduire auprès de Monsieur le Comte de Beusgley, me dit-il, c’est un très grand ami de Monsieur le Marquis, c’est un grand expert et un passionné de chevaux de course et de très belles femmes. C’est aussi un Maître et expert en distribution de souffrances aux récalcitrantes… un peu comme toi. Il ne te connait pas encore mais a demandé à Monsieur le Marquis de te rencontrer, ayant entendu parler de toi. Voilà pourquoi il est ici aujourd’hui, avec l’autorisation du Maître. Il n’a aucune capacité à te « toucher » sauf, s’il te l’exige, à lui faire une fellation. Quand je dis te « toucher » il peut te donner un ou des ordres, mais ne pas te cravacher par exemple, mais en revanche il peut entrer ses doigts… sans te baiser, enfin tu comprends. Sois la plus efficace possible, car il relatera au Maître dans les moindres détails ce qui lui a plu ou pas. Si tu veux éviter des corrections sévères, à toi de jouer, ma belle... - Je ferai de mon mieux, Monsieur, répondis-je immédiatement reprise par… - Pas de ton mieux, tu feras tout à la perfection. - Oui, Monsieur, comptez sur moi. Le Majordome frappait à la porte du salon dans lequel ...
... Monsieur le Comte de Beusgley attendait et annonça mon arrivée en ces termes : - Monsieur le Comte, je vous présente la dernière trouvaille du Maître, une véritable perle en cours de dressage. Il me fit signe d’entrer et se retira en fermant la porte sur mes talons. Le Comte de Beusgley était assis dans un large fauteuil de cuir, à son côté, sur une crédence, des boissons et deux verres… Il ne réagit même pas à l’annonce de Walter et me regardait pas plus. Je ne bougeais pas. Enfin, daignant se retourner légèrement, mais sans pour autant me regarder, il retira ses lunettes d’écailles, en essuya les verres, les reposa sur son nez, toujours sans dire un seul mot. Puis, il daignât tourner les yeux vers moi, de façon condescendante, mais avec un regard d’expert néanmoins. Il me jaugeait, me détaillait des pieds à la tête comme le connaisseur qu’il était en matière de chevaux, capable d’un seul coup d’œil de détecter un futur vainqueur, ou une rosse… Toujours sans un mot, il me fit signe de son index droit de tourner lentement sur moi-même… L’expertise continuait semble-t-il, je tournais très lentement et aux trois quarts tournée vers lui, il me fit signe brusquement d’arrêter alors que ma jambe gauche allait prendre place un peu en arrière de mon buste pour poursuivre mon mouvement de rotation. Dans cette pose, le bout de ma chaussure gauche reposait sur le gros orteil, immobilisé comme figé… Je le voyais détailler ma cuisse semble-t-il, mon bassin, mes hanches, mes reins ou chute de ...