1. Scripta manent. Un Gremlin dans les glandes


    Datte: 21/08/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, hotel, voyage, train, strip, Masturbation intermast, Oral nopéné, humour,

    ... caresses, sur la pointe, qui me paniquent, tant je crains le faux départ. Il faut que j’arrive à me retenir, il faut que je la fasse jouir avant moi, puisque c’est ce qu’elle attend depuis notre rencontre. Ou même avant notre rencontre, si ça se trouve. Faire mouiller une beauté teutonne pendant une conférence, ce n’est vraiment pas banal. Aucune idée de quelle alchimie, de quel sortilège il s’agit. Peu importe, d’ailleurs, elle veut du mâle, je vais lui en donner ! Elle gobe goulûment mon nœud, tendu sous la caresse et se met à pomper comme une folle. J’ai des lancées plein le ventre, mon jus commence à monter. Elle doit sentir les premières secousses, bloque la base de mon vit entre ses doigts d’un coup sec, ce qui me calme momentanément. Elle retire mon pieu violacé de sa bouche et, toujours à genoux, sort une capote de son sac à main échoué à côté de nous. Avant de la dérouler sur mon membre, elle regarde tendrement l’objet qui va la percer dans une fraction de secondes, plonge sa langue dans le méat dégoulinant et le dilate à fond, ce qui me remet sur orbite. — Vous êtes vraiment trop bon, j’aimerais entrer dans ce petit bout de vous et vous faire jouir du dedans ! C’est pire qu’un uppercut au foie. J’en ai le souffle coupé. Elle vient de prononcer exactement une des phrases écrites dans son dernier texte par Gremlin. Au mot près. C’est pas possible, c’est un complot, ils se connaissent ? Personne ne parle ainsi en pleine volupté ! Ou alors, l’auteur, c’est elle ? Elle ...
    ... m’attendait depuis longtemps, je suis piégé ! En tout cas, la régate est finie. Je démâte en vitesse et pour couronner le tout, je m’aperçois, cul nu, dans le miroir du couloir. Je réalise l’incongruité de la situation. Elle à poil, à genoux devant moi, les fesses grand écartées, la chatte luisante et l’anneau avide. Moi, le caleçon sur les chevilles, débraillé, en route pour une chevauchée à la hussarde. C’en est trop, je ne me reconnais plus. Je remets tant bien que mal de l’ordre dans ma tenue et me précipite hors de son appartement. J’arrive juste à temps pour prendre mon train, les burnes pleines et la rage au ventre. Dire que le retour ne s’est pas bien passé serait superflu. Exactement le genre de remarque inutile qui m’horripile chez ceux que je critique. Ça y est, ça continue… Je suis envoûté, ma parole ! Bientôt plus une pensée, plus une envie où je ne retrouve pas des traces de Gremlin… Je craque… Il faut que je me reprenne… * * * En rentrant, je fonce sur le site érotique, voir s’il y a une nouvelle histoire de lui. Si c’est le cas, soit je l’écrabouille, soit je l’encense et qu’il me lâche la grappe pour un moment, ce nul ! Malheureusement, rien, silence radio. J’ai dû taper trop fort la dernière fois, même si ce n’était pas mon intention. Ils sont si fragiles, les auteurs. Il doit se tapir quelque part sur la toile et attendre que je me manifeste en critiquant de travers, à son avis que je ne partage pas, pour me sauter sur le poil. Quinze jours passent… Rien, ...
«12...456...9»