Scripta manent. Un Gremlin dans les glandes
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
grosseins,
hotel,
voyage,
train,
strip,
Masturbation
intermast,
Oral
nopéné,
humour,
... seul avec l’addition. Un coup pour rien, il est aussi nul que ses histoires. « Pas peur de perdre le contrôle », c’est bien une remarque d’auteur ! Pourtant, même si cela me coûte, je dois avouer qu’une fois la frustration passée, je me suis senti plus léger. Sa médiocrité me donnait de bonnes raisons de l’évacuer de mon esprit. J’ai d’ailleurs eu bien d’autres soucis les jours suivants. Appelé pour une nouvelle conférence, j’ai appris que mon Allemande y participerait aussi. Comment éviter une consternante confrontation ? Je n’en dormais déjà plus. Le souvenir de ma débâcle et des conséquences de l’immixtion de Gremlin dans ma vie sexuelle me rongeait. * * * A mon grand soulagement, les retrouvailles avec ma collègue se sont passées de manière très détendue. Et chaleureuse, contre toute attente. Elle m’a vu la première dans le hall de l’hôtel et s’est approchée spontanément, en tendant discrètement son opulente poitrine. Elle a souri de mon air emprunté. — Vous avez l’air d’un lapin traqué…— … On le serait à moins, non ? Je dois encore travailler à mon intervention de demain. Mais je suis à la chambre 314, venez quand vous voulez, si vous m’avez pardonné. La porte sera ouverte, je vous expliquerai, en tout bien tout honneur. Elle se penche à mon oreille en murmurant : — Bitte, bitte ! Ça me suffit d’être « en tout bien » entre vos bras, je n’ai pas besoin du « tout honneur » ! Si vous manquez d’imagination, je vous raconterai avec quelle lance j’ai éteint l’incendie, ...
... l’autre jour, lâcheur… Voilà qui est clair… J’essaie tant bien que mal de reprendre mes sens, et monte corriger mes documents. Une heure plus tard, j’en suis enfin à la dernière révision. Tout à la répétition de mon texte devant un auditoire imaginaire, je ne l’ai pas entendue entrer. Elle s’approche de moi silencieusement et vient se blottir contre mon dos. Je ne sens qu’un tissu très léger sur sa peau. Elle a dû traverser la moitié de l’hôtel en dessous de soie. Je n’ose pas imaginer l’émeute sur l’étage. Je reste immobile, me contentant d’inhaler une première bouffée de son parfum. Elle m’enferme entre ses bras et écrase ses mamelles contre moi. Glissant lentement sa main le long de ma taille, elle passe sous mon pull et caresse mon ventre. Le résultat sur ma queue ne devrait pas la décevoir. De l’autre main, elle ouvre son kimono. Les pointes de ses seins frottent contre ma peau, j’imagine ses larges aréoles plissées, de plus en plus sensibles à chaque mouvement. Elle laisse échapper un soupir de contentement. Je lance mes bras derrière moi et cherche ses fesses. Elle se tortille, se libère et vient s’emparer de mon membre à travers les vêtements, tout en me maintenant dos contre elle. La bosse est à son goût. Elle n’attend plus, ouvre la ceinture de mon pantalon et nous nous retrouvons exactement au point où nous en étions restés quelques semaines plus tôt. — On continue, ou tu veux parler ? souffle-t-elle à mon oreille.— Laisse-moi te sucer, je n’ai pas arrêté de penser à ta ...